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t après son départ, chez l’adversaire. Mais quand
bien
même on inventerait ces procédés, leur mise en œuvre supposerait un é
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vivrait. ⁂ La situation présente, en vérité, est
bien
plus folle qu’on ne l’imagine. Car non seulement nous sommes sans déf
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nt aux ténèbres du Moyen Âge. Car ces trois armes
bien
modernes correspondent à trois conceptions grandioses de la vie. La c
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g, les sèves ! Quant à l’évaporation atomique, eh
bien
, n’est-ce pas le symbole même de l’idéalisme : tout monte et s’épanou
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l’une peut renseigner sur celle de l’autre. Aussi
bien
nos marins ou capitaines cochons seront-ils revêtus, pour l’occasion,
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mme vous le savez, sont réputés mortels. On verra
bien
comment ces cochons-là se comportent sous le feu, et savent mourir.
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beaucoup l’ont pensé, sans vous le dire ? Il est
bien
naturel que l’événement d’Hiroshima nous ait jetés pour quelque temps
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mener avec leur boîte à masque en bandoulière. Eh
bien
, la guerre des gaz n’a pas eu lieu, parce que tout le monde en avait
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aison pour la Bombe… — Je ne trouve pas la raison
bien
forte, en vérité. Hitler n’a pas eu recours aux gaz, c’est entendu. M
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lus belle absurdité de l’Histoire. Comprenez-vous
bien
de quoi l’on parle ? Contrôler cet objet inerte ? C’est comme si tout
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, elle ne fera rien, c’est clair. Elle se tiendra
bien
coite dans sa caisse. Qu’on ne nous raconte donc pas d’histoires. Ce
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ombe nous menace et nous tente à la foi. Et voilà
bien
le progrès le plus sensationnel du siècle. — Un progrès ? — Oui, j’ap
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iroshima n’ont pas tenu le coup tout à fait aussi
bien
, comme le révèlent les rapports officiels publiés la semaine dernière
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emment engagés dans la réalité. Et cela suffirait
bien
à définir le sens que nous donnons à ce mot d’engagement. ⁂ Je l’ai d
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ougit de rappeler de tels truismes. Mais on y est
bien
forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précisons donc
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avec les mains et L’Amour et l’Occident mirent
bien
vite au premier rang, est le contraire d’un amuseur. Pendant la guerr
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vient » fatal si on ne fait que l’attendre. C’est
bien
l’impression désespérante que nous avons. L’intelligence française es
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des. Ils n’existent que dans la mesure où on veut
bien
leur accorder du crédit. Voilà bien le cercle vicieux et l’on n’en so
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re où on veut bien leur accorder du crédit. Voilà
bien
le cercle vicieux et l’on n’en sortira qu’en sautant à pieds joints p
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, n’est-ce pas le rêve de Napoléon ou de Hitler ?
Bien
entendu. Aussi n’est-il pas question « d’unifier » l’Europe mais de «
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’ils persistent dans leur attitude ombrageuse, eh
bien
! nous nous passerons de leur consentement. C’est bien dommage, mais
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! nous nous passerons de leur consentement. C’est
bien
dommage, mais nous n’allons quand même pas attendre le visa de qui qu
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s. Vous voyez que ma réponse est optimiste. Dites
bien
cependant que je reste fidèle à ma formule du « pessimisme actif ». J
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pauvrie, encombrée de barrières qui empêchent ses
biens
de circuler, mais qui ne sauraient plus la protéger, notre Europe dés
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la libre circulation des hommes, des idées et des
biens
. 2° Nous voulons une Charte des droits de l’homme, garantissant les l
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celui que vous risquez de perdre, cet été, soyez
bien
sûrs qu’il le retrouvera : c’est le temps de modifier non pas des par
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cle, c’est eux-mêmes. Ils nous disent : « Je veux
bien
, je ne suis pas contre, mais voyez ces difficultés ! L’Opinion, par e
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es daltoniens, et les sceptiques, alors, pourront
bien
dire : j’avais raison, voyez l’obstacle ! Ils l’auront eux-mêmes susc
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a fait jusqu’ici pratiquement plus de mal que de
bien
à notre cause à tous. On me dira que si l’on se contente d’affirmer d
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ma part qu’un seul : discuter et voter un projet
bien
précis de Constitution fédérale de l’Europe. Si vous acceptez cela, v