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n vérité, est bien plus folle qu’on ne l’imagine.
Car
non seulement nous sommes sans défense, mais encore le secret de la b
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me mettre à leur place. Staline voudrait la paix,
car
sa Russie blessée doit d’abord être reconstruite, mais il ne renonce
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lans de Pierre le Grand. Attlee voudrait la paix,
car
l’Empire blessé est en pleine expérience socialiste, mais il ne renon
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un impérialisme démodé. Truman voudrait la paix,
car
le commerce et l’industrie américains y trouveraient leur espace vita
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entier attend. Ils ne voient rien, c’est évident,
car
les visions de l’avenir naissent d’un loisir intense. Or, ils ont à r
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uissent les trois Grands ne pas perdre la boule !
Car
le fait est qu’il n’y en a qu’une de boule, comme disait à peu près l
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bourgeoise, succédant aux ténèbres du Moyen Âge.
Car
ces trois armes bien modernes correspondent à trois conceptions grand
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rtainement le problème numéro un de notre temps :
car
les problèmes se posent quand les choses s’en vont… c. Rougemont D
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ainsi dire. Après tout, nous devions le prévoir,
car
nous avons vécu un précédent : la guerre des gaz. Tout le monde s’y p
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imera donc les scrupules de l’agresseur éventuel.
Car
nos scrupules naissent, en général, d’une rapide évaluation des consé
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de la culture ». Toute la confusion vient de là.
Car
la culture qu’on nous propose de défendre, c’est elle, précisément, q
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ur mieux se persuader qu’on peut aller très vite.
Car
le temps fait beaucoup à l’affaire. Celui que vous n’auriez pas, Stal
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le savez bien, vous n’êtes pas de vrais députés,
car
les vrais sont élus, et vous êtes simplement délégués pour consultati
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emps, je vous proposerai de l’obtenir de Staline.
Car
en Europe il y en a peu. Si vous me dites enfin que c’est plus diffic
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out tient à cela, tout tient à votre sage audace.
Car
si l’Europe unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur de