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leur analyste américain des choses militaire dans
cette
guerre, et le corps unanime des savants. M. Hanson W. Baldwin l’a for
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s armées et ouvrir les frontières. Qui ne partage
cette
impression, avec les masses contemporaines : que les chefs responsabl
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aissent frappés d’un vertige. Ils ne voient rien.
Cette
absence de pensée est plus dangereuse que n’importe quelle pensée fau
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ppellerons secondaires. Et voici mon espoir, dans
cette
situation : c’est qu’au lieu de défendre la Démocratie, en bloc, et c
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elle tort, mais on n’a pas manqué de répondre que
cette
mesure est précisément celle qui fut prise en premier lieu par les Ét
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n mouvement d’opinion contre les essais projetés.
Cette
Ligue demande qu’au lieu de sacrifier tant d’innocentes victimes, et
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iés pouvaient riposter, et la valeur militaire de
cette
arme était loin de compenser, même à ses yeux, le risque moral qu’il
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ux risques institués par la bombe. Il se peut que
cette
campagne ait été orchestrée par les services de l’Armée de Terre, pen
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tan ». Le Dr Oppenheimer n’a rien voulu savoir de
cette
futile grillade de cochons vifs, organisée par les services publicita
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milieux intellectuels et littéraires. De fait, si
cette
volonté d’engagement s’exprime souvent par des attitudes assez confus
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emble que mon hôte n’est pas fâché d’habiter sous
cette
ombre. Il y a quelque chose de voltairien chez lui : cette aisance da
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re. Il y a quelque chose de voltairien chez lui :
cette
aisance dans l’épigramme, ce ton persifleur et cette parfaite éléganc
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te aisance dans l’épigramme, ce ton persifleur et
cette
parfaite élégance du style. Mais là se borne la ressemblance. Ce jeun
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de la France une initiative de salut. Sans doute,
cette
initiative ne saurait être politique : la France n’est plus à la tail
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aussitôt que personne ne l’a reprise à sa place.
Cette
initiative-là, on la perd dès qu’on cesse de la prendre. Ce rôle est
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aut, précisément, reprend Denis de Rougemont, que
cette
double négation devienne une affirmation, sous peine de voir le monde
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ons que nous existons. « Pessimisme actif »
Cette
Europe unie, sous l’impulsion d’une nation, n’est-ce pas le rêve de N
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r ». Seul, le fédéralisme est capable de réaliser
cette
unité dans la diversité et c’est pourquoi je suis résolument fédérali
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e la quantité, mais de la qualité. Et croyez-vous
cette
Europe possible ? Parfaitement. Les Américains ne demandent pas mieux
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us formidable adversaire. Entre ce grand péril et
cette
grande espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle
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que nous voulons l’union de notre continent. Sur
cette
union l’Europe joue son destin et celui de la paix du monde. Soit don
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les hommes et les gouvernements qui travaillent à
cette
œuvre de salut public, suprême chance de la paix et gage d’un grand a
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chance de la paix et gage d’un grand avenir, pour
cette
génération et celles qui la suivront. l. Rougemont Denis de, « Mes
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ans le mot « souveraineté » la réponse décisive à
cette
« chimère ». Le bon sens dénonçait l’invivable chaos entretenu par le
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e projets, de discours et de vœux. À la faveur de
cette
agitation, un petit groupe de jeunes chefs enthousiastes fit adopter
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ux compromis vitaux. Quant à ceux qui n’ont point
cette
passion de l’Europe, ceux dont le regard s’attarde aux obstacles à l’
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s faire élire. Un raisonnement très simple appuie
cette
suggestion. On ne fera pas l’Europe sans informer ses peuples, et du
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bat, Paris, 4 octobre 1950, p. 6. q. Présenté de
cette
note : « Nous publions aujourd’hui le deuxième extrait des cinq Lett