1 ns ce siècle trois fois maudit. Je ne vois plus d’ espoir sérieux nulle part. La faillite morale est universelle, chez les indi

2 rnational. Moi. — Pas d’accord ! Je distingue un espoir . Des trois régimes dont vous parlez, l’un est écrasé. Les deux qui re

3 e, que nous appellerons secondaires. Et voici mon espoir , dans cette situation : c’est qu’au lieu de défendre la Démocratie, e

4 , il est sûr qu’il y aurait tout à perdre, même l’ espoir , à ne point risquer la dernière chance européenne. Voilà le pari. Vou

5 point se séparer avant d’avoir dressé, pour notre espoir , un signe ! Des raisons de vivre ! Vous n’êtes pas encore l’esp

6 es raisons de vivre ! Vous n’êtes pas encore l’ espoir des peuples libres, ni des peuples muets de l’Est européen. Mais vous

7 e audace. Car si l’Europe unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune armée du monde ne pourra l