1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 masses comme chez ceux qui les mènent. Les trois Grands sont presque d’accord pour renouveler leurs petites discussions. M. T
2 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
2 iècle est gouverné par ceux qu’on nomme les trois Grands . Ils se composent d’un loup déguisé en mouton et de deux moutons vêtu
3 condition requise est de n’être pas le chef d’une grande nation. Mais qui l’a dit, jusqu’à ce jour ? Chacun sait que l’arbitre
4 e des équipes. Qui l’a rappelé au sujet des trois Grands  ? Chacun sait que, pour arbitrer la lutte entre les continents, il fa
5 l’a dit au sujet de Truman ? L’Amérique est trop grande pour lui, et le voici chargé du monde en plus ! Ainsi d’Attlee et de
6 en que ce dernier me paraisse plus habile dans le grand art de prendre son temps. ⁂ Je les plains. Cependant, s’ils s’obstine
7 e ? Avant ce début de juillet, puissent les trois Grands ne pas perdre la boule ! Car le fait est qu’il n’y en a qu’une de bou
3 1946, Combat, articles (1946–1950). Tous démocrates (22 mai 1946)
8 i. — Je fais le plan d’une trilogie sur les trois grands régimes politiques de ce siècle. Je vais les caractériser par leurs a
9 at. Si nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul peut-être que la guerre pouvait permettre… Lui. — M
4 1946, Combat, articles (1946–1950). Bikini bluff (2 juillet 1946)
10 caine. Depuis des mois, de nombreux organes de la grande presse américaine mettaient en garde leurs lecteurs contre les expéri
11 aleur éternelle des cuirassés et porte-avions. Le grand danger, le vrai danger de l’expérience, c’était qu’elle ratât, confor
12 éclarations faites à la presse par les trois plus grands chefs des forces armées américaines, au cours de l’hiver dernier. « L
13 arine vient de gagner la première manche, dans ce grand match à trois équipes. Mais sans doute ne l’a-t-elle gagnée qu’aux ye
14 es catastrophes continentales, pour le jour de la grande expérience d’une explosion atomique sous-marine. Ils jugent la bombe
15 américaine. Et le faux soulagement produit par le grand « four » de Bikini ne peut qu’augmenter le danger. La seule défense c
5 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
16 la révolution, cela demande un effort un peu plus grand , et d’une autre nature, que l’effort de signer un manifeste ou de s’i
6 1948, Combat, articles (1946–1950). Message aux Européens (14 mai 1948)
17 les d’outre-mer associés à nos destinées, la plus grande formation politique et le plus vaste ensemble économique de notre tem
18 échec par un plus formidable adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit cl
19 midable adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit clairement. Elle est d’u
20 nfidélités, l’Europe demeure aux yeux du monde le grand témoin. La conquête suprême de l’Europe s’appelle la dignité de l’hom
21 ut public, suprême chance de la paix et gage d’un grand avenir, pour cette génération et celles qui la suivront. l. Rougem
7 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
22 sse un peu plus, pour unir vos États dans un plus grand péril ? Vous me direz… Vous me direz que l’Europe est plus gran
23 me direz… Vous me direz que l’Europe est plus grande que la Suisse ; qu’il fallut une bonne guerre pour briser le tabou de
24 nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes nations contemporaines. Mais il n’est pas exact que l’Europe d’aujour
25 st pas exact que l’Europe d’aujourd’hui soit plus grande que la Suisse d’alors : vous êtes venus de Stockholm à Strasbourg — o
8 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
26 re sage audace. Car si l’Europe unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur des masses, aucune armée du monde ne p