1 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
1 hôte n’est pas fâché d’habiter sous cette ombre. Il y a quelque chose de voltairien chez lui : cette aisance dans l’épigramme
2 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
2 re l’incendie, que l’eau peut abîmer les meubles. Il y eut une guerre civile entre cantons, qui fit voir l’impuissance du pacte.
3 tre cantons, qui fit voir l’impuissance du pacte. Il y eut un long branle-bas de sociétés, de mouvements, de projets, de discour
4 d’Ankara — en moins de temps qu’il n’en fallait, il y a cent ans, pour aller de Genève ou des Grisons à Berne. Pour la guerre
5 union « trop rapide » remplissaient nos journaux, il y a cent-trois ans : il n’en est pas une seule qui se soit vérifiée, mais
6 e. Mais ces lettres d’avertissement demeurent. Et il y a un redoutable abîme entre les propositions de Denis de Rougemont et l
3 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
7 l du sceptique crée les obstacles insurmontables. Il y a deux sortes d’opinions : celle que l’on invoque, et la vraie. L’une q
8 tenter l’impossible ? D’autre part, il est sûr qu’ il y aurait tout à perdre, même l’espoir, à ne point risquer la dernière chance e