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emière tâche des intellectuels qui ont compris le
péril
totalitaire (de droite ou de gauche) ce n’est pas « d’adhérer » à que
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rtés françaises ! Le réflexe du libéral devant le
péril
, c’est de faire un fascisme. Fût-ce même pour se défendre du fascisme
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par un plus formidable adversaire. Entre ce grand
péril
et cette grande espérance la vocation de l’Europe se définit claireme
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comparable à celui de notre Europe, sauf pour le
péril
extérieur, qui n’était rien au regard de celui que nous courons ? Une
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peu plus, pour unir vos États dans un plus grand
péril
? Vous me direz… Vous me direz que l’Europe est plus grande que