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dées et d’en tirer une conclusion logique) est au
plus
de 35 %. Est-ce peu ou beaucoup pour un peuple ? Je n’en jugerais qu’
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er les impôts nécessaires. Par crainte de mourir,
plus
personne ne vivrait. ⁂ La situation présente, en vérité, est bien plu
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ait. ⁂ La situation présente, en vérité, est bien
plus
folle qu’on ne l’imagine. Car non seulement nous sommes sans défense,
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rois bombes sur New York. (Je prends l’exemple le
plus
invraisemblable, pour qu’on n’aille pas y voir je ne sais quelle allu
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. Ils ne voient rien. Cette absence de pensée est
plus
dangereuse que n’importe quelle pensée fausse. Mais comment pourraien
6
p grande pour lui, et le voici chargé du monde en
plus
! Ainsi d’Attlee et de Staline, bien que ce dernier me paraisse plus
7
ee et de Staline, bien que ce dernier me paraisse
plus
habile dans le grand art de prendre son temps. ⁂ Je les plains. Cepen
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lui dans ce siècle trois fois maudit. Je ne vois
plus
d’espoir sérieux nulle part. La faillite morale est universelle, chez
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rtis et à toutes les nations du globe ne signifie
plus
rien. Ou bien c’est un mensonge et une hypocrisie. Je vais vous en do
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dénonçaient naguère encore la Suisse, qui est la
plus
vieille démocratie du monde, et la traitaient de « fasciste », parce
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Nous pouvons porter notre effort, désormais, non
plus
sur la défense d’un mot, d’un terme vague que personne n’attaque, mai
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u de fil blanc ou de fil rouge aux politiques les
plus
contradictoires, et parfois les plus tyranniques. Moi. — Je l’avoue.
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litiques les plus contradictoires, et parfois les
plus
tyranniques. Moi. — Je l’avoue. La liberté est certainement le probl
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l’uniforme sera porté par des cochons, au sens le
plus
scientifique de ce terme. Quand je vous disais que la guerre est mort
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ême pas Hitler, n’a eu le courage de commencer. À
plus
forte raison pour la Bombe… — Je ne trouve pas la raison bien forte,
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longueur de colonne, dans toute la presse, est la
plus
belle absurdité de l’Histoire. Comprenez-vous bien de quoi l’on parle
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a question de l’Autre. C’est la seule. On ne peut
plus
l’éviter depuis que la Bombe nous menace et nous tente à la foi. Et v
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nous tente à la foi. Et voilà bien le progrès le
plus
sensationnel du siècle. — Un progrès ? — Oui, j’appelle ainsi tout ce
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les déclarations faites à la presse par les trois
plus
grands chefs des forces armées américaines, au cours de l’hiver derni
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faisait rare sous leurs pieds et qu’ils n’avaient
plus
de berger, aux éclairs de chaleur d’une révolution encore lointaine,
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ne croix, d’une faucille et d’un marteau, ou avec
plus
ou moins de réticences ; d’un nom connu, d’un nom à faire connaître…
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ettes contractées par l’esprit ne laissaient même
plus
une possibilité de concordat. Déjà les dictatures réglaient les compt
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en intention, du moins en fait. Les penseurs les
plus
violemment libres du xixe siècle, un Nietzsche, un Kierkegaard, un B
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sche, un Kierkegaard, un Baudelaire1, ont été les
plus
violemment engagés dans la réalité. Et cela suffirait bien à définir
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aire la révolution, cela demande un effort un peu
plus
grand, et d’une autre nature, que l’effort de signer un manifeste ou
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ative ne saurait être politique : la France n’est
plus
à la taille de ces géants qui s’affrontent. Elle est pauvre aussi et
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L’Europe est menacée, l’Europe est divisée, et la
plus
grave menace vient de ses divisions. Appauvrie, encombrée de barrière
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hent ses biens de circuler, mais qui ne sauraient
plus
la protéger, notre Europe désunie marche à sa fin. Aucun de nos pays
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peuples d’outre-mer associés à nos destinées, la
plus
grande formation politique et le plus vaste ensemble économique de no
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stinées, la plus grande formation politique et le
plus
vaste ensemble économique de notre temps. Jamais l’histoire du monde
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, et la misère n’auront été mises en échec par un
plus
formidable adversaire. Entre ce grand péril et cette grande espérance
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lôture du congrès de La Haye. Il donne la note la
plus
juste sur l’atmosphère de ses débats et résume clairement ses volonté
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oit l’avoir vue et s’en va répétant qu’il a fallu
plus
de cinq-cents ans pour sceller son union fédérale. Tout le monde se t
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est acceptée par près de deux tiers des États et
plus
de deux tiers des citoyens votants. Le 16 novembre, le premier Consei
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Pensez-vous que l’Histoire vous en laisse un peu
plus
, pour unir vos États dans un plus grand péril ? Vous me direz…
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n laisse un peu plus, pour unir vos États dans un
plus
grand péril ? Vous me direz… Vous me direz que l’Europe est plu
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Vous me direz… Vous me direz que l’Europe est
plus
grande que la Suisse ; qu’il fallut une bonne guerre pour briser le t
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des siècles ; que les problèmes économiques sont
plus
complexes ; et qu’on ne peut comparer, sans offense, nos modestes sag
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l n’est pas exact que l’Europe d’aujourd’hui soit
plus
grande que la Suisse d’alors : vous êtes venus de Stockholm à Strasbo
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mble du monde. Vos cordons de douanes ne sont pas
plus
nombreux, ni moins strangulatoires, que ne l’étaient les nôtres. Et v
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’étaient les nôtres. Et vos économies ne sont pas
plus
disparates que celles de Zurich, par exemple, et de ses petits voisin
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eule qui se soit vérifiée, mais pas une seule non
plus
qui ne reparaisse dans la bouche même de ceux qui affirment que nos r
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rtielle devant les leçons de l’Histoire, que j’ai
plus
d’une raison de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés
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nion, lorsqu’on les interroge. Il n’en fallut pas
plus
pour fédérer la Suisse. Mais l’opinion veut qu’on l’entraîne. « On su
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qui ne saurait nuire à « l’achèvement d’une union
plus
intime entre ses membres ». Les manchettes des journaux parleront d’u
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aine des principes, a fait jusqu’ici pratiquement
plus
de mal que de bien à notre cause à tous. On me dira que si l’on se co
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t-on. La phrase est vague. Les actes sont parfois
plus
vains que les paroles. Lancer un timbre européen, ce serait un acte e
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e il y en a peu. Si vous me dites enfin que c’est
plus
difficile que je n’ai l’air de le penser dans ma candeur naïve, je vo
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je vous demanderai si quelque chose au monde est
plus
difficile à concevoir que le maintien du statu quo, que la vie, la du
50
r qu’au point où nous en sommes, il n’y a presque
plus
rien à perdre. Que risquez-vous à tenter l’impossible ? D’autre part,
51
r, que pour des raisons de vivre. Mozart n’en est
plus
une pour les chômeurs. Et ce n’est pas une secte politique, une doctr