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s gardons, c’est un dépôt sacré », disent-ils. Et
sans
l’avis d’aucun savant autorisé, ils parlent de défenses possibles, si
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qu’on ne l’imagine. Car non seulement nous sommes
sans
défense, mais encore le secret de la bombe sera demain celui de Polic
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, discuter le contenu véritable de la démocratie,
sans
passer aussitôt pour des fascistes. Lui. — Autant dire que votre mot
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disais que ses règles sacrées sont toutes violées
sans
exception par l’usage de la bombe atomique… J’avoue que je n’avais pa
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s exagériez. Savez-vous que beaucoup l’ont pensé,
sans
vous le dire ? Il est bien naturel que l’événement d’Hiroshima nous a
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alléger leurs souffrances » n’ont-elles point été
sans
effet. Ce qu’on sait, de source officielle, c’est que l’amiral Blandy
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paye. Que notre liberté de penser n’importe quoi,
sans
tenir compte de l’époque, était une illusion entretenue par l’apparen
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ent. Elle est pauvre aussi et le monde actuel est
sans
pitié pour les pauvres. La France a besoin des États-Unis pour sa sub
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sont plus complexes ; et qu’on ne peut comparer,
sans
offense, nos modestes sagesses et les folies sublimes des grandes nat
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ue par l’union et que l’unification tuerait. Mais
sans
sacrifices d’amour-propre, sans replis stratégiques d’intérêts légiti
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ion tuerait. Mais sans sacrifices d’amour-propre,
sans
replis stratégiques d’intérêts légitimes, sans compromis, elle ne ser
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e, sans replis stratégiques d’intérêts légitimes,
sans
compromis, elle ne sera pas. C’est clair. Vous ignorez l’opinion vr
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pas mûre, et chacun sait qu’on ne peut rien faire
sans
elle ». C’est qu’ils se prennent pour l’opinion, qu’ils ont négligé d
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que si l’on se contente d’affirmer des principes
sans
les mettre en pratique, cela ne fait de mal à personne. Mais cela en
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appuie cette suggestion. On ne fera pas l’Europe
sans
informer ses peuples, et du danger qu’ils courent, et de la parade pu
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notre fédération. On n’informera pas les peuples
sans
une propagande massive. Personne n’a les moyens de la financer. La se
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e ne suis rien qu’une voix presque désespérée, et
sans
autre pouvoir que de vous adjurer de la part des millions qui se tais