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vant autorisé, ils parlent de défenses possibles,
si
toutefois on leur laisse le commandement. Je leur oppose le meilleur
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bombe sera demain celui de Polichinelle, et enfin
si
quelqu’un nous attaque, nous ne saurons pas qui a tiré. Supposez qu’u
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tombant du ciel bleu, — l’expression est devenue
si
vraie qu’elle a cessé de nous frapper. Une apathie étrange me semble
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is que la Bombe doit être administrée. Notez que,
si
elle ne l’est pas, quelqu’un va nous l’administrer. L’alternative est
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devant un pouvoir nouveau, sorti du peuple… Mais
si
l’on touche à l’idée de nation, voilà tous les visages qui se ferment
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er : qu’est-ce que l’homme ? C’est le vrai débat.
Si
nous le reconnaissons, nous aurons fait un grand progrès, le seul peu
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de l’Armée, pour protester contre une profanation
si
littéralement éclatante. Au contraire, toute la résistance est venue,
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nte. Au contraire, toute la résistance est venue,
si
je puis dire, du côté opposé. C’est la Ligue protectrice des animaux
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r tant d’innocentes victimes, et dans une posture
si
ridicule, on place sur les navires les membres du Congrès et du Sénat
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quences fâcheuses, pour nous-mêmes, de nos actes.
Si
l’emploi de la Bombe est décisif, il n’y a pas de punition à redouter
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s qu’on nomme des comités pour la retenir ! Comme
si
elle était tombée du ciel, animée de mauvaises intentions ! C’est d’u
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parle ? Contrôler cet objet inerte ? C’est comme
si
tout d’un coup l’on se jetait sur une chaise pour l’empêcher d’aller
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our l’empêcher d’aller casser les vases de Chine.
Si
on laisse la Bombe tranquille, elle ne fera rien, c’est clair. Elle s
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mable » : elle peut se chiffrer assez exactement,
si
l’on connaît le budget prévu pour le Département de la Marine américa
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nt intacts, autant que les palmiers de Bikini. Et
si
les amiraux sont rassurés, conformément à tous les plans qu’ils ont t
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n d’un tel gouvernement — qui pourrait être l’ONU
si
elle existait autrement que sous forme d’initiales — c’est d’augmente
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dénoncé pas des « intellectuels » français. Mais
si
le monde ne s’en porte pas mieux, l’intelligence n’y gagne guère. ⁂ T
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urs : un gant qui se retourne ne devient pas pour
si
peu une main vivante et agissante. Un libéral qui se soumet aux direc
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met aux directives d’un parti ne devient pas pour
si
peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas que ces trahisons insign
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es milieux intellectuels et littéraires. De fait,
si
cette volonté d’engagement s’exprime souvent par des attitudes assez
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i que ce soit. Mais l’initiative intellectuelle ?
Si
on peut dire qu’actuellement elle ne l’a pas davantage que l’initiati
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ttente de quoi ? Du conflit qui « devient » fatal
si
on ne fait que l’attendre. C’est bien l’impression désespérante que n
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que nous venons de dire, « d’inventer » la paix.
Si
elle ne le fait pas, personne ne le fera à sa place. Mais si elle l’i
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le fait pas, personne ne le fera à sa place. Mais
si
elle l’inventait pour elle seule — ce qui est d’ailleurs impensable —
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qui est d’ailleurs impensable —, ce serait comme
si
elle n’avait rien fait. Il n’y a pas d’autarcie de la paix. « Penser
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ançais. Il faut donc que l’affirmation française,
si
elle éclate, comme je le souhaite, trouve immédiatement son champ d’a
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monde où les vrais problèmes soient discutés et,
si
possible, résolus, où les tensions fécondes puissent s’exercer enfin
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temps. Jamais l’histoire du monde n’aura connu un
si
puissant rassemblement d’hommes libres. Jamais la guerre, la peur, et
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nos cantons. Leurs sorts ne sont pas moins liés,
si
vous regardez l’Europe dans l’ensemble du monde. Vos cordons de douan
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ui marchent », dit Péguy. Elle ne vous suivra pas
si
vous êtes daltoniens, et les sceptiques, alors, pourront bien dire :
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a sens, c’est l’Europe. Mais elle ne bougera pas,
si
vous ne faites presque rien. Elle laissera parler les sceptiques parl
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que de bien à notre cause à tous. On me dira que
si
l’on se contente d’affirmer des principes sans les mettre en pratique
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sous-estimer la puissance des philatélistes. Mais
si
Strasbourg accouche d’un timbre-poste, nous serons un peu déçus, et S
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que nulle autre méthode ne saurait provoquer.
Si
vous me dites… La condition à la fois nécessaire et suffisante d’u
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bien précis de Constitution fédérale de l’Europe.
Si
vous acceptez cela, vous aurez avec vous l’opinion vraie dans sa majo
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ique de l’Histoire, le réveil de notre espérance.
Si
vous n’acceptez pas, vous ne trouverez derrière vous que le vide et l
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nce ; et devant vous, le rire des hommes d’acier.
Si
vous me dites que c’est prématuré, je vous supplierai de déclarer cla
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uelles conditions, cela cessera d’être prématuré.
Si
vous me dites que c’est très joli, mais qu’il faut qu’on vous laisse
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’obtenir de Staline. Car en Europe il y en a peu.
Si
vous me dites enfin que c’est plus difficile que je n’ai l’air de le
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penser dans ma candeur naïve, je vous demanderai
si
quelque chose au monde est plus difficile à concevoir que le maintien
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l’anxiété qui les dicte. Je ne vous écrirais pas
si
je ne savais très bien qu’une partie d’entre vous m’approuve et qu’un
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mouvement de passion, je m’écriais l’autre jour :
si
vous ne voulez rien faire, allez-vous-en ! Mais beaucoup d’entre vous
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tient à cela, tout tient à votre sage audace. Car
si
l’Europe unie n’est pas un grand espoir renaissant dans le cœur des m
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ensemble ? Je veux avoir parlé pour ne rien dire,
si
quelqu’un nous propose une autre solution que l’Autorité fédérale, so