1 1946, Combat, articles (1946–1950). Ni secret ni défense (19-20 mai 1946)
1 e le plus invraisemblable, pour qu’on n’aille pas y voir je ne sais quelle allusion à des circonstances trop réelles.) L’
2 1946, Combat, articles (1946–1950). Paralysie des hommes d’État (21 mai 1946)
2 a paix, car le commerce et l’industrie américains y trouveraient leur espace vital, mais il ne renonce pas aux barrières
3 , et qu’ils détestent la guerre : pourtant, ils s’ y préparent. Ce qui domine en fait leur politique, c’est la vision de l
4 ne pas perdre la boule ! Car le fait est qu’il n’ y en a qu’une de boule, comme disait à peu près le regretté Willkie, et
3 1946, Combat, articles (1946–1950). Post-scriptum (24 mai 1946)
5 un précédent : la guerre des gaz. Tout le monde s’ y préparait, vous rappelez-vous ? Dans toutes les capitales d’Europe, o
6 actes. Si l’emploi de la Bombe est décisif, il n’ y a pas de punition à redouter. Il est donc clair qu’on l’emploiera, au
7 rapproche des vraies questions, et nous oblige à y faire face. e. Rougemont Denis de, « Post-scriptum », Combat, Pari
4 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
8 r parc venu, à gauche ou à droite, et depuis lors y bêlent d’une voix aigre et anxieuse, tout en signant une quantité de
9 e monde ne s’en porte pas mieux, l’intelligence n’ y gagne guère. ⁂ Tant que les écrivains mettaient leur soin à vivre en
10 nsée détachée, irresponsable par définition. Il n’ y a pas que du mal à en dire : cela nous a valu quelques œuvres durable
11 . On rougit de rappeler de tels truismes. Mais on y est bien forcé par le spectacle de l’intelligentsia française. Précis
5 1947, Combat, articles (1946–1950). « La tâche française c’est d’inventer la paix » (26 décembre 1947)
12 ces qui aboutissent à la bombe ou à la paix. Il n’ y a de fatalité que lorsque l’homme démissionne. Et c’est ce qui est gr
13 ailleurs ? La France « en attente » Ne vous y trompez pas. Le monde entier, comme nous-mêmes, attend encore de la F
14 , ce serait comme si elle n’avait rien fait. Il n’ y a pas d’autarcie de la paix. « Penser français » comme le voulait Bar
15 ui se passe en Suisse : nous autres romands, nous y sommes dans la proportion d’un tiers contre deux tiers, et pourtant n
16 ers contre deux tiers, et pourtant notre minorité y est particulièrement active. C’est que nous sommes un pays fédéralist
17 t aux Russes, je suis convaincu qu’ils n’ont qu’à y gagner. Mais s’ils persistent dans leur attitude ombrageuse, eh bien 
18 isme actif ». Je ne me fais aucune illusion. Il n’ y aura jamais d’âge d’or. Je demande simplement un monde où les vrais p
6 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
19 tique. C’est assez pour que j’ose vous supplier d’ y réfléchir quelques minutes. La Suisse s’est unie en neuf mois. Il vau
7 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, on vous attend encore au pied du mur ! (4 octobre 1950)
20 poserai de l’obtenir de Staline. Car en Europe il y en a peu. Si vous me dites enfin que c’est plus difficile que je n’ai
21 n peut penser qu’au point où nous en sommes, il n’ y a presque plus rien à perdre. Que risquez-vous à tenter l’impossible