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joyeux étonnement que je suis tombé, dans Dürrer,
à peine
les gros volumes ouverts, sur une abondance de citations de Luther, d
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sion de revivre, c’est une épreuve encore, on ose
à peine
le dire, une épreuve dérisoire, bonne pour des spectateurs… Pourtant,
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ité absolue de mon sentier personnel, qui le rend
à peine
discernable pour ma foi seule, va permettre à mes voisins soucieux de