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janvier-février 1940)c d Le fait même que nous
éprouvions
tous un doute sur l’opportunité d’une conférence en temps de guerre,
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ntrer, puissent écouter et puissent entendre sans
éprouver
le sentiment de s’être égarés dans un milieu où ils sont déplacés. Qu
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églés et réguliers. Depuis mon retour en Suisse j’
éprouve
avec intensité l’absence de toute espèce de liturgie sérieuse dans no
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et je ne pense pas être le seul de mon espèce, j’
éprouve
le besoin d’entendre répéter chaque dimanche les grandes vérités de l
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chaque dimanche les grandes vérités de la foi, j’
éprouve
le besoin de participer, par le chant ou la récitation, à ce témoigna
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’usage de ces moyens, la maîtrise d’une technique
éprouvée
, l’obéissance aux préceptes légaux et coutumiers, ne suffisent pas po