1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 cultivent avec amour le souvenir du solitaire du Ranft , que Rome a dès longtemps béatifié, et que la vénération du peuple, s
2 stitué. À une heure de chez lui, dans la gorge du Ranft , il se construit une cellule, auprès d’une minuscule chapelle. Et le
3 èlerins deviennent plus fréquents, qui montent au Ranft pour voir l’ermite fameux. Les uns poussés par la curiosité, les autr
4 sives. Pendant la nuit, le curé de Stans monte au Ranft , et il adjure le solitaire de tenter un dernier effort. On ne sait pa
5 devait par-dessus tout à l’action de l’ermite du Ranft . (Remarquons à ce propos que la seule chose que tout le monde sache d
6 vait parlé ? Et la première visite qu’il reçut au Ranft ne fut-elle pas précisément celle d’un pèlerin « ami de Dieu », peut-
7 n des cantons réformés se rendit en pèlerinage au Ranft et « sur les lieux consacrés par le souvenir du Frère Claus ». Quant