1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 ponse très grossière, mais enfin une réponse, à l’ appel religieux du peuple. C’est parce que les fascistes avaient une mystiq
2 us ne la faisons pas, d’autres s’en chargeront, l’ appel existe, et c’est le premier qui saura lui répondre qui vaincra. Soyon
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
3 nt leur force et leur sens, et leur délicatesse d’ appel . Alors les écrivains, qui n’ont pas d’autres armes que les mots, se v
4 rivés de tout moyen d’agir. Leurs conseils, leurs appels ne portent plus. Les hommes échangent des paroles en plus grand nombr
5 formulée, mais dont les signes sont partout. L’ appel au dictateur Or maintenant, de cette angoisse monte un appel, le f
6 teur Or maintenant, de cette angoisse monte un appel , le formidable et inconscient appel des masses vers une communauté hu
7 isse monte un appel, le formidable et inconscient appel des masses vers une communauté humaine rénovée dans son esprit et dan
8 ine rénovée dans son esprit et dans ses signes, l’ appel de toute l’Europe du xxe siècle vers une commune mesure restaurée et
9 mmune mesure restaurée et vivante. Et c’est à cet appel qu’ont répondu les chefs des grands mouvements collectivistes. Tout l
10 ant dire pour tous les hommes vraiment humains. L’ appel des peuples reste insatisfait. Il continue à nous poser la plus série
11 sons pas d’illusions : tôt ou tard, là aussi, cet appel exigera une réponse. Reste à savoir si nous saurons la lui donner, si
12 isolé retrouve des contraintes qui le rassurent. Appel à une communauté : c’est le secret de toute révolution. Alors, d’un c
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
13 n, la détournent du but, ou le font oublier. 2. L’ appel du but doit nous rejoindre et nous mouvoir. C’est du but que d’abord
14 tant qu’homme, et qui serait, selon l’Évangile, l’ appel et la puissance de l’amour. À travers l’action dans la communauté, c’
15 vre le chemin qui va me conduire à la source de l’ appel que j’ai cru percevoir, que je cherche à entendre, à capter de nouvea
16 l’invente en le suivant ? Il n’est créé que par l’ appel , et n’existe que si je m’y engage, répondant à l’appel sans penser à
17 , et n’existe que si je m’y engage, répondant à l’ appel sans penser à rien d’autre. Il n’est pas jalonné, comme les grandes v
18 uf s’ils ont fait, eux aussi, l’expérience de cet appel invraisemblable — et ils vont me conseiller « pour mon bien », de m’e
19 ais vu. N’ayant d’autres moyens de répondre à son appel , de le rejoindre, que ceux que me suggère, inexplicablement, ma foi e
20 oublier tout ce qui me fait douter du But et de l’ appel et du chemin, quand je m’abandonne à l’élan, à l’attrait advienne que
21 rticulier, c’est ce qui m’empêche de répondre à l’ appel que j’ai cru entendre, c’est le refus d’y croire sans preuve dont je
22 elque attitude intime, en travers du chemin que l’ Appel , dans la nuit, crée ou jalonne pour moi seul. Mon péché, c’est ce qui
23 ira (et il le dit en moi) : — Êtes-vous sûr que l’ appel que vous croyez venu du Transcendant n’est pas tout simplement l’expr
24 chercher à saisir et à comprendre le message ou l’ appel qui nous en vient. Ce n’est pas appliquer une règle connue, la même p