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tte guerre. Nous avons trop longtemps vécu dans l’
atmosphère
rassurante créée par le matérialisme modéré du dernier siècle. Nous n
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e ton des sermons, le maintien des auditeurs et l’
atmosphère
en général y sont bien plus bourgeois que populaires. C’est sans dout
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teurs. Je n’en suis pas sûr. C’est une question d’
atmosphère
spirituelle, de disposition des esprits. C’est aussi notre affaire à
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ur des âmes. Si nous avons ce zèle et ce souci, l’
atmosphère
un peu renfermée de certaines de nos paroisses se dissipera d’elle-mê
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oments du drame du salut. Elle crée le cadre et l’
atmosphère
spirituelle, elle introduit le sermon du pasteur, elle le situe dans
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ir ensuite le souci de « désembourgeoiser » notre
atmosphère
, notre ton, nos manières de prêcher ou d’écouter, afin de rendre poss