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t croître en lui l’inquiétude du salut. J’ai été
attaché
avec zèle aux lois papistes autant que n’importe qui, et je les ai dé
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e avec des traditions de famille et des donateurs
attachés
à leurs souvenirs. L’Église n’est pas à nous, n’est pas notre œuvre,
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usieurs années en France, et je me suis fortement
attaché
à la liturgie des Églises réformées de ce pays. J’entends ici par lit
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ation catholique. Toutes les Églises ont toujours
attaché
de l’importance à ces choses-là, et je pense qu’elles avaient de bonn
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t œcuménique. (Je pense à l’Église anglicane, qui
attache
à la liturgie une importance sans cesse croissante.) Et pourtant, les