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est beaucoup plus grave, une tentation. Il flatte
au
cœur de notre angoisse morale et matérielle le désir lâche d’un « ord
2
d’un « ordre » imposé par la force, d’une « mise
au
pas » brutale qui nous dispense de nous sentir les responsables de la
3
ldats, qui pour une fois s’avisèrent de résister.
Au
premier coup de feu, la petite armée des chemises noires s’enfuit dan
4
ussi la plus naturelle et la plus instinctive : «
Au
signal du danger, armons-nous ! » L’instinct ancestral de l’homme, c’
5
e conduit l’État qui veut se maintenir à peu près
au
niveau du voisin, à perdre la mesure de ce qu’il peut dépenser sans s
6
re. Mais supposez que cette question soit résolue
au
mieux de nos possibilités de vie normale. Il s’agira maintenant d’uti
7
e tâche est de tout mettre en œuvre pour échapper
au
cercle de la guerre totale. Je crois que le seul moyen sérieux de rés
8
pas d’armures ni de lances : ils trichèrent donc
au
jeu où l’adversaire devait gagner, et se défendirent avec leurs moyen
9
stres, ne satisfaisait plus depuis bien longtemps
au
besoin de croire de la majorité du peuple. Nous voulons croire à la m
10
s les trois infaillibles, je ne crois pas manquer
au
devoir de charité en jugeant parfaitement grotesque leur impossible p
11
arfaitement grotesque leur impossible prétention.
Au
fanatisme, il convient d’opposer une certaine douceur amusée. Voltair
12
ondamnons, ce sont des solutions et des doctrines
au
nom desquelles on veut réglementer le tout de l’homme, quand il s’agi
13
. Conclusions d’une conférence prononcée à Genève
au
mois de mai 1938, sous les auspices de Zofingue et de l’Association c
14
cours plein d’élévation. Comment prendre vraiment
au
sérieux un drame qui se dénoue si facilement, un héros dont l’activit
15
uple, surtout dans les petits cantons, a déjà mis
au
rang des saints (bien que la canonisation se fasse attendre). Mais là
16
ale. Le concile de Constance venait de mettre fin
au
Grand Schisme de la catholicité. Au pape d’Avignon, au pape de Rome,
17
de mettre fin au Grand Schisme de la catholicité.
Au
pape d’Avignon, au pape de Rome, à l’antipape qu’on avait tenté de le
18
and Schisme de la catholicité. Au pape d’Avignon,
au
pape de Rome, à l’antipape qu’on avait tenté de leur opposer — et tou
19
une réforme. On l’avait fait monter sur le bûcher
au
mépris de la parole donnée. Il semblait que la chrétienté se regroupa
20
ne injustice flagrante commise par ses collègues,
au
cours d’un procès, le décide à déposer sa charge et à se retirer dans
21
frères mendiants » qui s’en vont sur les routes,
au
hasard, abandonnés au souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femme de
22
i s’en vont sur les routes, au hasard, abandonnés
au
souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femme de cette terrible décisi
23
mme de cette terrible décision, et elle l’accepte
au
terme d’une lutte héroïque avec elle-même. Alors commence la vie de s
24
s pèlerins deviennent plus fréquents, qui montent
au
Ranft pour voir l’ermite fameux. Les uns poussés par la curiosité, le
25
cessives. Pendant la nuit, le curé de Stans monte
au
Ranft, et il adjure le solitaire de tenter un dernier effort. On ne s
26
e la personne nous échappe, si nous nous limitons
au
savoir historique. J’entends qu’il est très difficile, sur les docume
27
tent surtout en valeur de nos jours : la dévotion
au
Saint-Sacrement, à la Vierge et aux saints, l’ascétisme, les visions,
28
s avec grand sérieux comme saintes et nécessaires
au
salut. Avec tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de
29
es mœurs ecclésiastiques sont choses si courantes
au
Moyen Âge qu’il serait imprudent d’y chercher un trait spécifique de
30
Initié en Alsace par le marchand Rulman Merswin,
au
xive siècle, ce mouvement plus ou moins hérétique n’est pas sans d’i
31
s pas catholique, mais pas davantage protestante,
au
sens moderne, et qui se rapprocherait plutôt de celle des sectes myst
32
résentants vécurent en Suisse allemande du xiiie
au
xve siècle, et Nicolas de Flue ne saurait s’expliquer — dans la mesu
33
i avait parlé ? Et la première visite qu’il reçut
au
Ranft ne fut-elle pas précisément celle d’un pèlerin « ami de Dieu »,
34
irectement de cette espèce de réaction intérieure
au
formalisme romain, qu’ont représenté les Amis de Dieu. Et l’on conçoi
35
s recueils de documents sur Nicolas que publiait,
au
lendemain de la guerre, Robert Dürrer, historien du canton d’Unterwal
36
tion des cantons réformés se rendit en pèlerinage
au
Ranft et « sur les lieux consacrés par le souvenir du Frère Claus ».
37
Chose curieuse, elle est extrêmement défavorable
au
Bienheureux. On y sent l’agacement de l’auteur à voir le nom et les c
38
Frère sans cesse revendiqués par les protestants
au
cours des disputes concernant la politique et le régime des pensions.
39
ision des épées », que Nicolas avait fait peindre
au
mur de sa cellule. Luther l’interprétait comme une prophétie contre l
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arquait pas qu’elles étaient sans commune mesure.
Au
moraliste qui s’indignait, il aurait simplement répondu que les affai
41
sont régies par des lois inflexibles. Et surtout,
au
développement formidable et angoissant des faits, ils ont opposé des
42
uple, disait Marx. Je lui réponds que sa croyance
au
Progrès est l’opium de la culture. S’il fallait résumer rapidement le
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oute l’existence dans ses plus minutieux détails.
Au
Moyen Âge, la théologie. Dans toutes ces civilisations, l’action obéi
44
st l’État-providence qui se charge de tout mettre
au
pas. Le malheur, c’est que l’Argent et l’État sont des principes qui
45
xtraordinaire décadence du langage, en tous pays.
Au
cours des siècles précédents, les hommes d’une même société s’entenda
46
tantôt l’établissement d’une hiérarchie nouvelle
au
prix d’une révolution, tantôt la suppression physique de tous ceux qu
47
fit songer irrésistiblement à un dialogue d’Alice
au
pays des Merveilles (qui est un de mes livres préférés), dialogue don
48
ée, mais dont les signes sont partout. L’appel
au
dictateur Or maintenant, de cette angoisse monte un appel, le form
49
es réformes matérielles sont inutiles et tournent
au
malheur. Car le mal qui est dans l’action n’a pas d’autres racines qu
50
eurs efforts, même les plus sincères, aboutissent
au
malheur de l’homme. Dans ce monde qui a perdu la mesure, le seul devo
51
ividualiste de la Grèce répond l’étatisme romain.
Au
collectivisme sacral du Moyen Âge répond la révolte individualiste de
52
Car ce problème a été résolu, cet idéal réalisé,
au
ier siècle de notre ère, par les communautés de l’Église primitive.
53
ises parce qu’elles sont le type même des groupes
au
sein desquels la culture d’Occident a toujours trouvé ses mesures. Bi
54
hoisi, peut donner le meilleur de soi-même, aller
au
terme de sa pensée, jusqu’à l’acte qui la rend sérieuse. Refaire un m
55
Il s’agit de voir qu’en fait, si nous sommes là,
au
service du pays, ce n’est pas pour défendre des fromages, des conseil
56
ura du péché sur la terre. Non, l’heure n’est pas
au
facile optimisme, dans une Europe tout obscurcie par la menace des av
57
36. d. Une note précise : « Conférence prononcée
au
Rathaus de Zurich, le 15 janvier 1940. — Le manque de place nous a co
58
e », tant par en haut que par en bas. La croyance
au
Progrès nous a mis des œillères. Et quand soudain la route normale se
59
ne croit pas en Dieu ne sait pas non plus croire
au
diable, et ne sait pas le reconnaître. À l’origine de notre aveugleme
60
i nul effort spirituel ne les oriente, aboutiront
au
despotisme de l’État. Et contre tout l’« économisme » de son temps, i
61
ont pas su imaginer le mal parce qu’ils croyaient
au
bien fait de main d’homme. « Mea culpa » des militaristes, qui n’ont
62
idéaux et réalités, est pulvérisé par les bombes.
Au
plus fort de la persécution entreprise par Julien l’Apostat contre la
63
er. Voyons d’abord la situation de notre pays. «
Au
cœur de la révolution européenne, la Suisse est réduite à elle-même.
64
e, quoi qu’il arrive, oui même si le pire arrive.
Au
cœur physique de notre Confédération se dresse le massif du Gothard,
65
ou de nos faiblesses. En attendant, mettons-nous
au
travail pour qu’au jour du danger — toujours probable ! —, nous nous
66
es. En attendant, mettons-nous au travail pour qu’
au
jour du danger — toujours probable ! —, nous nous trouvions aussi bie
67
e demande pas que nos paroisses décrètent du jour
au
lendemain le partage de tous les biens et décident d’établir un régim
68
biens et décident d’établir un régime communiste,
au
sens littéral de ce mot. Mais je me demande seulement si elles sont p
69
qui compte avant tout et pratiquement — songeant
au
jour où il faudra choisir entre l’Église et nos sécurités. Je vois b
70
iquer à l’Église plus qu’à nulle autre communauté
au
monde, puisque l’Église est rassemblée par l’Esprit saint, et puisqu’
71
s lamenter ou à critiquer vainement. Mettons-nous
au
travail pour essayer de refaire, avec ce dont nous disposons, quelque
72
ose qui puisse opposer une victorieuse résistance
au
paganisme qui nous guette, et qui, lui, sait si bien s’organiser. Je
73
», et ne jugent pas cela « trop simple ». Jamais,
au
grand jamais, un pasteur ne sera trop simple ! Jamais il ne pourra se
74
’un lourd travail de bienfaisance. Je me bornerai
au
seul problème des formes du culte, au problème de la liturgie protest
75
me bornerai au seul problème des formes du culte,
au
problème de la liturgie protestante. C’est un laïque qui parle ici, j
76
de sens liturgique : lorsqu’il arrive qu’on lise,
au
début d’un de nos cultes, une prière liturgique isolée, comme la conf
77
e en y apportant quelques variantes personnelles,
au
gré de leur théologie ou de leur conception du style. Or justement, l
78
spontané d’une strophe du Te Deum : « Gloire soit
au
Saint-Esprit… » Puis bénédiction.) Telle est cette liturgie, exposé e
79
te. Vous réussissez à l’amener, un beau dimanche,
au
culte d’une de nos paroisses suisses. Elle sera d’abord, probablement
80
ertaine participation personnelle, physique même,
au
culte public, n’est pas sans portée spirituelle. Se lever, prier ense
81
œur ce rapprochement, plus qu’aucune autre Église
au
monde. Nos traditions fédéralistes devraient nous préparer tout spéci
82
— considérant que la malice des temps nous invite
au
travail plutôt qu’à l’éloquence. 6. Manifeste de la Ligue du Goth
83
, l’Église, c’est nous, paraîtront successivement
au
cours des prochains fascicules. »
84
ance, n’a été plus souvent expliqué à lui-même et
au
monde que la Suisse. C’est qu’il en a besoin plus que nul autre. Sa d
85
se compromettre avec personne, tout en échappant
au
reproche d’égoïsme par des œuvres philanthropiques. Il faut bien le r
86
tait évident que notre neutralité dépendait donc,
au
début de ce siècle, du fameux « équilibre européen ». Mais déjà en 1
87
ion se posa différemment. L’équilibre étant rompu
au
profit des puissances fascistes, la Suisse ne dut son salut qu’à une
88
our quelle raison grande et forte, c’est en somme
au
profit de quoi la Suisse devrait éventuellement renoncer à sa neutral
89
réponds pour ma part que cela ne pourrait être qu’
au
profit de l’Europe entière, c’est-à-dire au profit de son union fédér
90
re qu’au profit de l’Europe entière, c’est-à-dire
au
profit de son union fédérale, et de cela seul. Encore faut-il que cet
91
et nous ouvrons ainsi une rubrique où paraîtront,
au
cours des prochains fascicules, les réponses reçues. Voici le questio
92
renoncer à sa neutralité, ce ne pourrait être qu’
au
profit de l’Europe entière et de son union fédérale ; et j’ai ajouté
93
on prenne forme. » Telle est ma thèse principale.
Au
surplus, je souhaitais une discussion sur la neutralité présente et à
94
onsidérés comme révélés, invariables désormais et
au
surplus indispensables au maintien de l’ordre social. Aujourd’hui, po
95
nvariables désormais et au surplus indispensables
au
maintien de l’ordre social. Aujourd’hui, poursuit-on, la théologie a
96
us en sommes et à quels dogmes nous croyons. Mais
au
plan de la morale, nous vivons dans la plus incroyable confusion de s
97
omme étant continuellement révisé, testé et remis
au
point à l’aide de pièces de rechange, comme une voiture. Pour la prem
98
s mauvaises mains, serait en quelque sorte livrée
au
« monde » ? Ce qui semble effrayer beaucoup de ces observateurs, c’es
99
à la satisfaction des masses (pour ne pas dire :
au
soulagement général). Oserai-je vous avouer que si je tiens ces crain
100
an II) se décident à rendre à César, c’est-à-dire
au
« siècle », le soin de la réglementation et de la régulation de la co
101
« éternelle » contre toute évidence historique et
au
prix des plus étonnantes acrobaties théologiques. Je disais tout à l
102
s conditions, où, quand et en quoi une « morale »
au
sens traditionnel du terme serait encore nécessaire, voire simplement
103
négativité. Alors qu’aux origines de l’Europe et
au
Moyen Âge encore, l’Église formait les mœurs, édictait les canons de
104
re solitaire du mysticisme, ou de la connaissance
au
sens hindou. Amour et recherche du sens seront à la fois le contenu e
105
ûr), mais en tout cas les hommes qui « croient »,
au
sens chrétien du mot, vont entrer en dissidence dynamique et créatric
106
érience, pour moi très importante, que j’ai faite
au
service militaire. Je vais vous lire ces deux pages inédites, et que
107
titulées : « De la Visée » : J’ai appris le tir
au
fusil dans un pays qui, traditionnellement, fournissait au monde les
108
dans un pays qui, traditionnellement, fournissait
au
monde les champions de cet art ; et comme j’étais alors une jeune rec
109
une recrue animée d’un extrême désir d’être promu
au
grade de lieutenant, et d’acquérir de la sorte au plus tôt le droit d
110
au grade de lieutenant, et d’acquérir de la sorte
au
plus tôt le droit de faire taire les sergents harcelants, je m’appliq
111
prochait du grand concours que l’on nommait « tir
au
galon ». Dans chaque unité, on poussait l’entraînement des meilleurs
112
Vous tirez mal », dit-il avec une douceur froide,
au
moment même où je me félicitais d’avoir encore marqué un point, loin
113
et toute la méthode tient en trois mots : pensez
au
noir. Ne pensez pas à votre main, ni à ce que fait l’index qui a pris
114
oulu, le coup partira. Je vous le répète : pensez
au
but, oubliez le reste. Et maintenant vous allez essayer. Vous avez le
115
marqua le centre du noir. Trois jours plus tard,
au
scandale du sergent, je gagnais le fameux galon, insigne des champion
116
eil en trois mots de ce jeune officier — « pensez
au
noir » —, elles ne devaient m’apparaître qu’après bien des années, à
117
e de bien d’autres anxiétés. Mais ce premier coup
au
but avait, en un instant, posé et vérifié pour le reste de mes jours,
118
l’arc. Le tireur zen doit arriver à s’identifier
au
but (à la cible), à avoir ce but en soi, de telle sorte qu’il arrive
119
inées à assurer le bonheur dans le mariage, jusqu’
au
code des feux verts et rouges réglant la circulation. Dans cet ensemb
120
iales, par exemple, et d’ailleurs varient du tout
au
tout selon les conditions sociales, économiques, climatériques ou rel
121
pas « naturels », sont des normes et non des lois
au
sens physico-chimique du terme ; et deuxièmement, il n’y a rien de pl
122
e), voire par la disqualification (qui correspond
au
bannissement, à la prison à vie ou à la peine de mort). Mais si la mo
123
onsables) qui fait que l’on a peu à peu sacralisé
au
cours des âges et finalement considéré comme des vérités de foi, révé
124
ice d’action, certes ; c’est l’inspiration morale
au
degré suprême ; mais ce n’est pas un code, une loi, un recueil de règ
125
de la morale mais c’est aussi sa négation. Quant
au
Décalogue, c’est bien un code, mais rudimentaire et lacunaire, à l’us
126
reconnaître : ces scandales trop connus tiennent
au
fait que les Églises ont cru devoir édicter la morale de leur siècle,
127
ir édicter la morale de leur siècle, généralement
au
nom des intérêts (traduits en vertus) de la société du siècle précéde
128
ait une faute, si on touche la balle avec la main
au
football par exemple, on doit être pénalisé ou même disqualifié, mais
129
auté, c’est-à-dire à travers le prochain, l’amour
au
sens chrétien est l’orientation de tout être, et de tout mon être ver
130
lier à mon but le sentier de ma vocation, qui est
au
sens littéral improbable. Les grandes voies publiques, bien que réglé
131
assez frappante, à mes images initiales du tireur
au
fusil ou à l’arc. ⁂ Je ne voudrais pas terminer cet exposé… téméraire
132
ndonnez la responsabilité d’établir le code moral
au
« monde », c’est-à-dire aujourd’hui et en fait aux savants et à l’Éta
133
u’il ait tort) d’ouvrir les portes toutes grandes
au
subjectivisme intégral, à l’illuminisme, au quiétisme, et simplement
134
andes au subjectivisme intégral, à l’illuminisme,
au
quiétisme, et simplement à tous les malades dont la psychose prend la
135
s du tout à une morale révélée, ni directement ni
au
travers des tours de passe-passe théologiques, regrettera peut-être a
136
de passe-passe théologiques, regrettera peut-être
au
secret de son cœur, l’époque où l’on pouvait brûler des gens comme mo
137
rouverez aussi, chemin faisant, votre vrai moi. »
Au
sociologue, alors, qui me reprochera de verser dans un individualisme
138
e seul moyen que l’Évangile propose pour accorder
au
Transcendant notre être intime, notre pensée, notre vouloir. C’est un
139
lus précises et impératives. Quant aux laïques et
au
clergé de l’Église chrétienne, je pense que leur rôle spécifique et l