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s cela qu’on nous propose : faire vivre le peuple
avec
ce qui doit le faire mourir. C’est la politique de Gribouille : pour
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rmera automatiquement en puissances totalitaires.
Avec
cette différence que n’ayant pas vécu la révolution religieuse que re
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où l’adversaire devait gagner, et se défendirent
avec
leurs moyens propres : des quartiers de roche. Je ne veux pas dire, é
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que nous devions nous défendre aujourd’hui encore
avec
des quartiers de roche ; je veux dire que la force du faible, c’est d
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aroles » ? Les catholiques, par contre, cultivent
avec
amour le souvenir du solitaire du Ranft, que Rome a dès longtemps béa
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e siècle. Son existence coïncide donc exactement
avec
la dernière période d’unité de l’Église occidentale. Le concile de Co
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de la religion qui est alors celle de tous — mais
avec
une conscience bizarrement scrupuleuse. Il ne prend aucune nourriture
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térieure, d’un contact plus direct, plus confiant
avec
Dieu… À cinquante ans, il n’y résiste plus : sa vocation profonde tri
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, et elle l’accepte au terme d’une lutte héroïque
avec
elle-même. Alors commence la vie de solitude et d’oraison que toute l
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iète proclama que si la paix avait été sauvée, et
avec
elle le sort de la fédération, on le devait par-dessus tout à l’actio
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e en lui l’inquiétude du salut. J’ai été attaché
avec
zèle aux lois papistes autant que n’importe qui, et je les ai défendu
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autant que n’importe qui, et je les ai défendues
avec
grand sérieux comme saintes et nécessaires au salut. Avec tout le soi
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nd sérieux comme saintes et nécessaires au salut.
Avec
tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de les observer
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oins hérétique n’est pas sans d’intimes relations
avec
les doctrines mystiques de Suso et de Tauler, et par eux, de Maître E
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nement spirituel, et des contacts qu’il dut avoir
avec
certains Amis de Dieu. Lorsqu’il quitta sa femme et ses enfants, son
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de la secte — c’est ainsi qu’il ne rompit jamais
avec
l’Église, tout en gardant ses distances — mais d’autre part, il est i
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uvres de Lyon, se confondit sans nulle difficulté
avec
le calvinisme.) Nicolas de Flue et les réformés La contre-épreu
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tter) de Saint-Gall, qui mentionne le Frère Claus
avec
de grands éloges dans un ouvrage daté de 1522. (Nous sommes donc aux
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lée Etter Heini, de Jakob Ruf (1538), exploitent,
avec
beaucoup de verve et quelque grossièreté, les fameux conseils de Nico
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t pas question, ici, de confondre l’un des partis
avec
la cause de la culture, l’autre étant le parti de l’anti-culture. Ce
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pourra faire un grand pas. Il fonde d’autre part,
avec
l’argent gagné, un prix considérable, destiné à récompenser ceux qui
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les valeurs de la pensée n’ont plus aucun rapport
avec
les lois de l’action, une société qui manque à ce point d’harmonie, e
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, c’était un homme in abstracto, privé d’attaches
avec
le sol, la patrie et l’hérédité. C’était un homme libéré des servitud
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re part, cette vocation unique le met en relation
avec
des frères et l’introduit dans une communauté nouvelle. Voilà l’homme
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cet esprit, c’est justement l’esprit fédéraliste,
avec
sa devise paradoxale : Un pour tous, tous pour un. Et me voici condui
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sont les faits qui nous obligent à le reconnaître
avec
une tragique évidence. Et c’est cela que nous avons à défendre : la r
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s. Pendant un siècle, elle fit la sourde oreille,
avec
un petit air entendu, quand certains lui posaient cette question : à
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es qu’entraîne la guerre actuelle. Nous acceptons
avec
une belle discipline des « efforts financiers » dont une fraction min
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programme de bonheur obligatoire était le même —
avec
moins de franchise — que celui de l’ennemi fasciste contre lequel ils
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n’était pas de l’optimisme. Athanase prévoyait qu’
avec
le « petit nuage » passerait aussi, probablement, sa vie et celle de
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ussi bien préparés qu’il est possible. Inspectons
avec
soin nos défenses, ayons le courage de dire franchement : ici ou là,
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de la foi nouvelle liait les esprits et les cœurs
avec
une telle puissance que les sacrifices matériels devenaient simplemen
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ie qu’ils viennent de déposer dans le « sachet »,
avec
l’air de ne pas y toucher ? Sont-ils prêts à « partager » autre chose
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Mettons-nous au travail pour essayer de refaire,
avec
ce dont nous disposons, quelque chose de plus solide, de plus vivant,
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discuter de son administration et de ses rapports
avec
l’État comme s’il s’agissait d’un parti ou d’une fondation de bienfai
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ait d’un parti ou d’une fondation de bienfaisance
avec
des traditions de famille et des donateurs attachés à leurs souvenirs
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uête que je présente comme laïque à nos pasteurs,
avec
l’espoir que les laïques de cet auditoire l’appuieront pratiquement d
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es ! Ne vous fatiguez pas à faire une conférence,
avec
des idées personnelles. Notre époque ne demande pas des idées, des im
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qu’on nourrisse ma foi. J’attends qu’on me parle
avec
une calme autorité, et non pas que l’on prenne au sérieux mes doutes
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prédication de parler à sa foi, non à son doute,
avec
la tranquille et familière assurance de la foi. Car la conviction seu
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e ce que je vais dire. Je suis prêt à les écouter
avec
déférence. Mais je cherchais depuis longtemps l’occasion de formuler
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réguliers. Depuis mon retour en Suisse j’éprouve
avec
intensité l’absence de toute espèce de liturgie sérieuse dans nos cul
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s régimes totalitaires, communistes ou fascistes,
avec
leurs fêtes, leurs insignes, leurs saluts rituels. J’ai assisté à des
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émocrates et sans façon jusque dans nos relations
avec
le Tout-Puissant, qui est pourtant nommé Monarque, Seigneur et Roi de
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obstacle assez considérable à notre rapprochement
avec
d’autres Églises dans le mouvement œcuménique. (Je pense à l’Église a
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s voisins. Ce qu’on veut, c’est faire du commerce
avec
tout le monde, sans se compromettre avec personne, tout en échappant
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commerce avec tout le monde, sans se compromettre
avec
personne, tout en échappant au reproche d’égoïsme par des œuvres phil
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de l’Europe ? Certes, nous avons fini par adhérer
avec
d’infinies précautions, à quelques entreprises internationales, telle
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S de Staline, lorsqu’il s’agit de leurs relations
avec
l’Europe ; qu’il tienne l’URSS — malgré elle ! — pour une puissance e
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nfondre systématiquement » le Conseil de l’Europe
avec
la fédération du continent : le premier n’étant, comme chacun sait, q
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ne et qui se confondait, du moins par ses tabous,
avec
la morale victorienne et plus généralement bourgeoise-occidentale, qu
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médecin, au lieu de se débattre interminablement
avec
la voix de sa conscience, les conseils du prêtre, ou simplement l’opi
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adaptée aux fonctions sociales (dans les rapports
avec
l’État et avec le milieu), suffisamment docile aux prescriptions ou r
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ctions sociales (dans les rapports avec l’État et
avec
le milieu), suffisamment docile aux prescriptions ou régimes psychoso
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ns ou régimes psychosomatiques (dans les rapports
avec
le corps) et aux indications écologiques (dans les rapports avec la N
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et aux indications écologiques (dans les rapports
avec
la Nature), suffisamment ajustée, enfin, à la productivité du travail
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la « créativité des loisirs » (dans les rapports
avec
l’économie) : on ne voit pas très bien, dans ces conditions, où, quan
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s ultimes pouvant être présentés à la « Machine »
avec
un grand M que nous supposerons directrice ou correctrice de tous les
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ns le monde trop bien moralisé que nous préparent
avec
tant de zèle, de compétence, d’astuce technique les savants, les gouv
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it, et que je voyais faire aux autres. Je prenais
avec
soin le cran d’arrêt, bloquais mon souffle, visais d’un œil, reposant
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tout jeune lieutenant. « Vous tirez mal », dit-il
avec
une douceur froide, au moment même où je me félicitais d’avoir encore
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quel les meilleurs cerveaux peuvent se concentrer
avec
passion pendant une heure, car il est chargé de sens par les règles d
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qu’on montre beaucoup d’intelligence en trichant
avec
elles : aux échecs, par exemple, la moindre tricherie détruit tout l’
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cle précédent, confondue par la masse des fidèles
avec
la tradition chrétienne. Je résume cette partie de mon argument : 1.
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que si l’on fait une faute, si on touche la balle
avec
la main au football par exemple, on doit être pénalisé ou même disqua
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andes choses, c’est vrai, mais, par sa solidarité
avec
une grandeur qui le dépasse, à faire grandement la moindre des choses