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que nous puissions commettre en tant que Suisses,
car
elle menace l’existence même de notre État. Réagir à la menace totali
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dversaire irréductible, — et pourtant charitable.
Car
nous ne condamnons pas des peuples, encore une fois. Ce que nous cond
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illages voisins, et c’est là toute sa nourriture.
Car
n’est-il pas écrit, comme il le répétera souvent : « L’homme ne vit p
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e Claus des envoyés chargés d’obtenir son appui :
car
son conseil est si puissant parmi les Suisses qu’on a coutume de s’ad
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nt suffisant de l’anéantir pour nous en délivrer.
Car
la tendance qu’il personnifie à nos yeux, elle existe en nous aussi,
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lles sont ses causes, et s’il existe des remèdes.
Car
il ne serait pas suffisant de n’accuser que la méchanceté des hommes
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prolonger un massacre ? — Nullement, répondit-il.
Car
tout ce que j’ai à voir, ce sont deux colonnes de chiffres, dont la b
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e, mais ils ont dit : on ne peut plus rien faire,
car
l’histoire et l’économie sont régies par des lois inflexibles. Et sur
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le Progrès. Merveilleuse doctrine que celle-là !
Car
en somme elle justifie tout, endort l’esprit et le dispense de toute
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ctionnaire de Littré. Mais cela n’est pas un mal,
car
ces sens, justement, sont exactement définis. Ce qui est grave, c’est
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toute autorité morale capable d’y porter remède.
Car
qui peut fixer aujourd’hui le véritable sens des mots ? En d’autres t
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matérielles sont inutiles et tournent au malheur.
Car
le mal qui est dans l’action n’a pas d’autres racines que le mal qui
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idental. N’allons pas dire que c’est une utopie !
Car
ce problème a été résolu, cet idéal réalisé, au ier siècle de notre
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à subsister ou à se former dans le monde moderne.
Car
supposez qu’un homme se sente une vocation et décide de la réaliser.
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e vraie culture, les lecteurs, le public cultivé.
Car
c’est de ce changement d’état d’esprit que sortira la possibilité de
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peut rien. Conception très lugubre, mais commode,
car
elle justifiait l’inaction ou la retraite dans les bibliothèques. Or
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érance, vertu qui naît en somme d’un scepticisme,
car
elle suppose que la pensée de l’autre, qu’on tolère, ne passera jamai
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érance libérale, mais non pas ses inconvénients :
car
chacun dans le groupe où il est né, ou dans le groupe qu’il a choisi,
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rd’hui le seul moyen de préparer une paix solide.
Car
, après tout, qu’est-ce que la guerre actuelle ? C’est la rançon fatal
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ns la communauté. Cette œuvre n’est pas utopique.
Car
je me refuse à nommer utopie le seul espoir qui nous soit accordé. En
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d de notre capacité d’accepter des vérités dures.
Car
tout le mal est venu de les avoir refusées, avant qu’elles montrent l
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ier les illusions flatteuses de l’ère bourgeoise.
Car
ceux-là seuls sauront alors ce qui mérite d’être sauvé ou recréé. Non
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it de laisser-aller et d’insouciance du prochain,
car
nous le payons maintenant, une fois pour toutes. Ce qui comptera, ce
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ent, pour une nouvelle Réformation communautaire.
Car
c’est bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau la cité, pour qu’e
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de, faites-nous la grâce de n’en point vouloir ».
Car
« la société qui veut m’ôter ma religion, m’effraie bien moins que ce
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asteur disait : « Laissons parler la Bible seule,
car
nous, nous ne sommes pas convaincants. » Parole profonde, parole qui
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c la tranquille et familière assurance de la foi.
Car
la conviction seule est convaincante. Tout ceci ne veut pas dire d’ai
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rapide aperçu sur l’histoire de notre neutralité,
car
je soupçonne qu’elle n’est pas bien connue de la plupart de nos conte
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t, et elle peut donc demain devenir une trahison.
Car
je le répète : notre neutralité a été reconnue par les puissances « d
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on but final, sa destination ultime, sa vocation.
Car
les règles et les moyens de la vie sociale sont séculiers, par nature
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s. Je dois m’expliquer maintenant sur ce presque,
car
il est capital. Supposez, dans x années, une forme d’existence humain
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oint par accident, mais par nécessité de méthode.
Car
la grande Machine directrice la déclare sans objet, mal posée, fausse
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s d’ordonnance, et tirais aussi mal que possible.
Car
je me trouvais embarrassé de tant de recettes et d’ordres assénés qu’
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ent se concentrer avec passion pendant une heure,
car
il est chargé de sens par les règles du jeu. Quant aux feux verts et
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« simples conventions », se trompent doublement :
car
premièrement, on peut démontrer que les règles et préceptes de toutes
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t un moyen, ici encore, dicté et créé par sa fin.
Car
c’est l’Esprit qui nous meut à prier. Les « soupirs inexprimables » d