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ivité se résume dans ses « bonnes paroles » ? Les
catholiques
, par contre, cultivent avec amour le souvenir du solitaire du Ranft,
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et — pour d’autres raisons sans doute — certains
catholiques
qui ont bien voulu me le faire sentir. Il m’a semblé que je devais au
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. La tendance la plus apparente est celle que les
catholiques
mettent surtout en valeur de nos jours : la dévotion au Saint-Sacreme
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gent à prendre au sérieux cet aspect proprement «
catholique
» de la religion du Bienheureux. Toutefois, je ne puis me persuader q
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se rendre Dieu favorable. Sur quoi les critiques
catholiques
modernes reprochent à Luther d’avoir « manqué de discrétion » dans se
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augustin. Ce serait ainsi par son aspect le plus
catholique
que nous pourrions précisément saisir, dans la piété de Nicolas, les
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tendance pré-réformée chez l’ermite. Les auteurs
catholiques
eux-mêmes indiquent en passant qu’il se montrait des plus sévères pou
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enne, un Gerson, un Tauler, pour ne citer que des
catholiques
célèbres et indiscutables, avaient avant Jean Huss, avant Wiclef, éle
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présence d’une spiritualité qui n’est certes pas
catholique
, mais pas davantage protestante, au sens moderne, et qui se rapproche
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e voir reprise — et d’ailleurs modifiée — par les
catholiques
, à partir de 1569. 3. Satires et drames. — La première mention de Ni
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— La première mention de Nicolas dans une satire
catholique
date de 1522. Chose curieuse, elle est extrêmement défavorable au Bie
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trouvent condamner toute la politique des cantons
catholiques
. On sait d’autre part que l’archiduc Ferdinand II d’Autriche fit rech
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deux jours pleins ». Ce n’est qu’en 1586 que les
catholiques
se décidèrent à aborder eux aussi ce magnifique sujet. Le jésuite Jak
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her de dire la Parole. Mais à partir de 1536, les
catholiques
à leur tour utilisent cette image et la transforment (non sans suppri
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s ignorent le plus souvent du simple fait que les
catholiques
l’exaltent. Tel est l’esprit de parti, même parmi les chrétiens ! Que
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ésir n’est nullement d’enlever le Frère Claus aux
catholiques
— il ne peut leur faire que du bien — mais de le rendre aussi aux pro