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omplicité des ministères libéraux qui dirigeaient
cette
police. Pour ne rien dire, naturellement, des grands bailleurs de fon
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1921. 500 fascistes avaient débarqué à la gare de
cette
petite ville. Ils s’y heurtèrent à 8 gendarmes et 3 soldats, qui pour
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rer à la violence par une violence du même ordre.
Cette
solution est la plus naturelle parce qu’elle n’est en somme qu’un réf
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r un petit pays comme le nôtre. Mais supposez que
cette
question soit résolue au mieux de nos possibilités de vie normale. Il
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automatiquement en puissances totalitaires. Avec
cette
différence que n’ayant pas vécu la révolution religieuse que représen
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sur l’aide d’autrui. Nous ne pouvons compter sur
cette
aide que dans la mesure où nous sommes pour l’Europe quelque chose do
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pour l’Europe quelque chose dont elle a besoin ;
cette
chose unique, irremplaçable : un État qui n’est pas national, mais qu
8
as adversaire de la violence en soi, mais bien de
cette
forme mécanique qu’elle revêt dans la guerre moderne. Aussi bien, la
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au contraire une forme de lutte nouvelle. C’est à
cette
sorte de jiu-jitsu moral que nous devrions nous exercer. Si l’on y dé
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ui adorent l’idole totalitaire. Je veux démasquer
cette
idole, et les raisons profondes du culte qu’on lui rend. Or je distin
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ons été reconnaissants à celui qui nous apportait
cette
possibilité. Le christianisme, probablement par la faute de ses minis
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vous pas une angoisse dans ce peut-être ? Et dans
cette
volonté de croire à n’importe quoi et à tout prix, fût-ce à quelque c
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e réponse suffisante. La seule réponse décisive à
cette
immense question religieuse des peuples, d’où sont issus les trois mo
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est dans la mesure où nous ordonnerons nos vies à
cette
vérité-là, à elle d’abord, que nous pourrons prétendre apporter une r
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, ou de l’ouvrier, ou de l’aryen blond. C’est par
cette
seule mesure que nous pourrons devenir des personnes libres et respon
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les ont accepté pour vocation, et responsables de
cette
vocation devant la cité qui les protège. Je ne vous appellerai pas, e
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ons, mais nous aurons du moins sauvé l’honneur de
cette
génération anxieuse. Et pour tout dire, je ne suis pas sans espoir. L
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plication, dont l’intérêt, je l’espère, débordera
cette
anecdote personnelle. Il m’est apparu, en effet, à mesure que j’avanç
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tirer dans sa famille. C’est le deuxième temps de
cette
espèce de retraite concentrique — vers lui-même — qui est la forme de
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u souffle de l’Esprit. Il fait part à sa femme de
cette
terrible décision, et elle l’accepte au terme d’une lutte héroïque av
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ous étonner, peut-être même à nous faire partager
cette
espèce de vénération que lui vouèrent les hommes du xve siècle. Mais
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f de ramener à une forme larvée de protestantisme
cette
piété d’un type tout à fait original, proprement germanique, ou plus
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n’est pas facile de caractériser en quelques mots
cette
« piété germanique », de forme proprement mystique. Qu’il suffise d’i
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ses propos et son action relèvent directement de
cette
espèce de réaction intérieure au formalisme romain, qu’ont représenté
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uir en elles-mêmes, mais attestent néanmoins qu’à
cette
époque, la conscience populaire n’hésitait pas à ranger Nicolas du cô
26
as sans intérêt de donner ici un aperçu rapide de
cette
littérature réformée sur Nicolas. Je la diviserai en trois rubriques.
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Frère Tell ! Mais la pièce la plus importante de
cette
série est celle que fit jouer à Bâle, en 1550, le protestant Valentin
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et. Le jésuite Jakob Gretser fit jouer à Lucerne,
cette
année-là, une Comoedia de vita Nicolai Underwaldii Eremitæ Helvetii,
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ir de 1536, les catholiques à leur tour utilisent
cette
image et la transforment (non sans supprimer la tiare papale) en une
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tre commun, et j’ajouterais : comme le parrain de
cette
« défense spirituelle du pays » que nous devons approuver comme chrét
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en Occident. Je voudrais vous montrer ce soir que
cette
crise n’est pas théorique ; qu’elle a des conséquences pratiques ; qu
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l’une des origines de la présente guerre ; et que
cette
guerre n’est, en fin de compte, malgré tous ses prétextes matériels,
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rs en nous-mêmes. Il faut reconnaître, hélas, que
cette
éducation n’a pas merveilleusement réussi. Nous persistons tous, plus
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t tel que l’invention sera utilisée pour détruire
cette
paix, précisément, que le prix devait couronner. Et le chimiste pacif
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sation qui les produit ? Vous vous êtes tous posé
cette
question-là. Mais il ne suffit pas de se la poser et ensuite de se la
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incipe d’unité entre notre pensée et nos actions.
Cette
absence d’un principe d’unité est si totale qu’on ne la ressent même
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une chance et un devoir vital. Or, ils ont perdu
cette
chance. Ils n’ont pas vu le danger, ils ont eu peur de le prévoir. Et
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te des classes et le chômage, et la grande ville,
cette
catastrophe humaine, l’un des désastres moraux de l’Histoire. Tout ce
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out. L’appel au dictateur Or maintenant, de
cette
angoisse monte un appel, le formidable et inconscient appel des masse
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rtains types, soit physiques, soit sociologiques,
cette
loi est pratiquement une odieuse tyrannie pour tous ceux qui déborden
41
nte réaction collective. Sortirons-nous jamais de
cette
dialectique, dont les phases et les renversements menacent aujourd’hu
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istingue de tous ses voisins ; mais d’autre part,
cette
vocation unique le met en relation avec des frères et l’introduit dan
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naction ou la retraite dans les bibliothèques. Or
cette
idée de lois fatales avait été empruntée à la science, et transportée
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ciologie, et même de la psychologie. Et voici que
cette
idée paralysante est en train de subir certains coups décisifs : ce s
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ises. Mais quelles seront alors les directives de
cette
action redevenue possible ? Je ne voudrais pas, ici, partir dans l’ut
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en prévenant la maladie collectiviste. C’est dans
cette
volonté de recréer des groupes à la mesure de la personne, matérielle
47
e est sortie la guerre. Le seul moyen de dépasser
cette
mauvaise position du problème, c’est de prévoir pour la cité et la cu
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anté, et de sauver son avenir. Si nous trahissons
cette
mission, si nous n’en prenons pas conscience, alors seulement j’aurai
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a mesure de l’individu engagé dans la communauté.
Cette
œuvre n’est pas utopique. Car je me refuse à nommer utopie le seul es
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a toujours plus difficile à vivre et à gagner que
cette
guerre où tout s’abaisse et s’obscurcit. Mais qu’elle nous donne au m
51
entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » Or
cette
espèce est rare en Suisse, comme dans tous les petits pays où l’ère b
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ge encore une existence brutalement condamnée par
cette
guerre. Nous avons trop longtemps vécu dans l’atmosphère rassurante c
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que chose d’excessif par rapport à nos sécurités.
Cette
inconscience j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en Dieu ne
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un petit air entendu, quand certains lui posaient
cette
question : à quoi tend le progrès matériel ? Question stupide et irri
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es au nom de la liberté et du bonheur des masses.
Cette
unanimité d’esprits partout ailleurs irréductiblement divers, je répè
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fini —, dont je parlais aux Suisses en janvier de
cette
année, et cela fait déjà cinq mois passés. Ce délai nous permet de co
57
mme aujourd’hui semblait perdu, Athanase prononça
cette
parole : Nubicula est, transibit — c’est un petit nuage, il passera.
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c’est un petit nuage, il passera ? La grandeur de
cette
heure sévère, c’est que par la force des choses, par la brutalité dém
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travail. Contrairement à ce que beaucoup croient,
cette
situation n’est pas nouvelle dans notre histoire. Elle fut celle de n
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une grande fierté, parce qu’elle saurait que dans
cette
forteresse du Gothard, que n’atteignent ni chars ni avions, dans cet
61
ard nous dirait d’espérer. Maintenant, je poserai
cette
question : dans la situation extrême que je viens de décrire, à suppo
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dre ce matin. Ni oui ni non. Mais je voudrais que
cette
question reste posée. C’est lorsque tout paraît désespéré qu’on voit
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lles ! Les épîtres de Paul suffiraient à dissiper
cette
illusion. Il n’en reste pas moins que ces premières Églises ont surmo
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regarde les gens qui se dispersent, et je me pose
cette
question : sont-ils prêts à mettre en commun autre chose que la pièce
65
izer Christen dont je viens de parler j’opposerai
cette
déclaration prophétique d’un homme dont la pensée me paraît plus actu
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e. Elle devrait aujourd’hui abandonner résolument
cette
espèce d’éloquence conventionnelle qu’on appelle le ton de la chaire
67
des paroles directes. Vous me direz peut-être que
cette
question ne concerne que nos pasteurs. Je n’en suis pas sûr. C’est un
68
tent les essais tentés ici ou là, pour remédier à
cette
absence. Nous avons bien, de temps à autre, des cultes que nous appel
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exte réside dans son invariabilité. C’est grâce à
cette
invariabilité que le fidèle peut vraiment suivre le texte, dire en lu
70
ue fois leur sens toujours nouveau. C’est grâce à
cette
invariabilité, enfin, que la liturgie crée dans l’auditoire un sentim
71
t au Saint-Esprit… » Puis bénédiction.) Telle est
cette
liturgie, exposé et témoignage collectif non seulement des dogmes fon
72
ée, et enfin le témoignage de la foi. À mon sens,
cette
liturgie est une des plus belles, dans sa simplicité, et des plus jus
73
ute par la liturgie que je viens de vous résumer.
Cette
liturgie, en effet, décrit d’abord dans une langue frappante les diff
74
ieu, et que nous ferions bien de nous pénétrer de
cette
vérité fondamentale et même d’y conformer notre maintien. Sans aller
75
s ? Aurions-nous trop de dignité pour consentir à
cette
marque publique d’humiliation ? Nous chantons dans un chant patriotiq
76
jet, je vous demanderai de vous poser à vous-même
cette
seule question : alors que les orthodoxes, les anglicans, les catholi
77
istes devraient nous préparer tout spécialement à
cette
mission de compréhension d’autrui, de rapprochement, de mutuelle inst
78
logiens qu’aux laïques, généralement ignorants de
cette
question, ou retenus par des préjugés à son égard. Je me suis borné à
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l’à-peu-près intellectuel s’opposent sans cesse à
cette
reprise de conscience. D’où la nécessité d’une vigilante autocritique
80
ut ce qui est dit fédéral. Comprenne qui pourra !
Cette
confusion verbale, symbolique de tant d’autres, est à la base de la p
81
r, aux yeux de l’Europe qui essaie de se fédérer,
cette
raison de nous tenir à l’écart ou de bénéficier d’un traitement tout
82
On refuse de la discuter, parce qu’on craint que
cette
discussion n’aboutisse à des conclusions gênantes et n’oblige à des p
83
ivilège exorbitant ? Pour commencer de répondre à
cette
question, je me contenterai ce soir d’un rapide aperçu sur l’histoire
84
ise. Et déjà, l’on commence à regarder de travers
cette
petite Suisse qui prétend rester neutre quand tout le monde réarme à
85
ion fédérale, et de cela seul. Encore faut-il que
cette
union prenne forme, et qu’en son nom des questions très précises nous
86
e fédération ? Une conception trop restrictive de
cette
neutralité n’empêche-t-elle pas notre pays d’assumer actuellement la
87
maintien, de l’assouplissement ou de l’abandon de
cette
neutralité, tenez-vous certains arguments comme particulièrement déci
88
fédérale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que
cette
union prenne forme. » Telle est ma thèse principale. Au surplus, je s
89
rigoureux que chez les jeunes gens en colère. De
cette
morale que l’on disait chrétienne et qui se confondait, du moins par
90
onne, en attendant de se répandre dans nos pays),
cette
théologie-là bouleverse le fondement commun de toutes nos orthodoxies
91
mêmes d’orthodoxie et de révélation ; néanmoins,
cette
école (ou ce mouvement) veut conserver l’amour du Christ, c’est-à-dir
92
ançois Mauriac, par exemple.) Les conséquences de
cette
situation — qu’il faut imaginer réalisées dans un avenir pas trop loi
93
nsidérer comme un malheur, voire une catastrophe,
cette
probabilité d’une sécularisation croissante des normes de nos conduit
94
té et des maladies dites « sociales », etc. — que
cette
compétence dépasse largement la leur, et de plus en plus ; et que les
95
sans réponse : la question du sens de ma vie sur
cette
terre et après ma mort ; la question de ma relation à la transcendanc
96
e infinie de zéros à la sortie des circuits. Dans
cette
société que je suppose en parfait ordre de marche, il devient à peu p
97
apparaît subitement précisé à l’extrême par toute
cette
négativité. Alors qu’aux origines de l’Europe et au Moyen Âge encore,
98
venir chrétien, devra-t-il s’exiler moralement de
cette
société trop bien ajustée, se désadapter exprès, ou saboter la Machin
99
e trouve ou ne reçois jamais de réponse certaine,
cette
demande, cette recherche en elle-même est mon sens provisoire, mon ch
100
reçois jamais de réponse certaine, cette demande,
cette
recherche en elle-même est mon sens provisoire, mon chemin que j’inve
101
. À ce moment, l’initiation a réussi). Partant de
cette
expérience, et des maximes que j’en déduis, je propose dans la suite
102
ment. Je me borne à mentionner ici le principe de
cette
analyse, parce qu’il autorise quelques conclusions intéressantes pour
103
s, c’est clair, mais elles font tout l’intérêt de
cette
activité. En effet, déplacer un bout de bois d’un carré blanc sur un
104
ritique systématique et scientifique. Ce qui rend
cette
tâche si difficile et ingrate, dans la plupart des cas, c’est la conf
105
codifiée, devait fournir un terrain de choix pour
cette
confusion : il ne disposait que de la loi mosaïque et de son sommaire
106
s fidèles avec la tradition chrétienne. Je résume
cette
partie de mon argument : 1. j’estime qu’il y a tout avantage à consid
107
l n’existe qu’à partir de moi, et pour moi seul !
Cette
unicité et singularité absolue de mon sentier personnel, qui le rend
108
, et la foi aux fins transcendantes d’autre part,
cette
distinction fondamentale et radicale, pour paulinienne qu’elle soit s
109
gue de la communauté, d’une action qui le relie à
cette
communauté et qui l’insère dans ses réalités concrètes. Aux démocrat