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us dispense de nous sentir les responsables de la
cité
et de l’État. D’autre part, il nous tente par la promesse d’une commu
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de la destruction de toute commune mesure dans la
cité
(ou d’un défaut total d’éducation, comme en Russie). Ensuite il a don
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tion, et responsables de cette vocation devant la
cité
qui les protège. Je ne vous appellerai pas, en terminant, à une crois
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se séparent sur une menace de guerre civile entre
cités
et petits cantons. Mais voici l’heure de Nicolas, l’heure qui donnera
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très compliqué qui ne vaut rien pour conduire la
cité
, pour gagner de l’argent, pour faire des choses sérieuses… Et cependa
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ncé à leur mission de directeurs spirituels de la
cité
. Bien sûr, ils n’ont pas dit : notre pensée, à partir d’aujourd’hui,
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ici où nous rejoignons le temps présent. Dans une
cité
où la culture n’a plus en fait l’initiative, ce sont les lois de la p
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outes les activités d’une société donnée. Dans la
cité
grecque, par exemple, tout était rapporté à la mesure de l’individu r
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sentaient le besoin d’agir sur les destins de la
cité
, c’était, depuis Hegel, Auguste Comte, et Marx, l’idée que l’Histoire
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les grandes pourvoyeuses de lieux communs pour la
cité
. La théologie médiévale, par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à l
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, se détourner de toute action régulatrice sur la
cité
. Elles ont assisté sans mot dire à l’essor du capitalisme et aux tran
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t moralement, que je vois la commune mesure de la
cité
qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale : c’est tou
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ommune mesure de la cité qu’il nous faut rebâtir.
Cité
solide et pourtant libérale : c’est tout le problème à résoudre. L
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se position du problème, c’est de prévoir pour la
cité
et la culture une structure fédéraliste. Le fédéralisme, en effet, su
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lement à des catastrophes cosmiques. La vie de la
cité
et de la culture, ce sera toujours une bataille. Entre l’esprit de lo
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main. Mais nous qui avons encore su conserver une
cité
à la mesure de la personne, nous qui sommes encore épargnés, ne perdo
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t bien de cela qu’il s’agit : fonder à nouveau la
cité
, pour qu’elle résiste et qu’elle rayonne encore, quoi qu’il arrive, o
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s de base d’une nouvelle société7, les noyaux des
cités
futures, les refuges de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, no
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nfants quant à leur existence quotidienne dans la
cité
et dans la famille. Des spécialistes, revêtus de l’autorité incontest
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onventions utiles d’autres sociétés, notamment la
cité
grecque, l’Empire romain, la Sippe germanique, ou les interdits et de
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pour bien conduire la pensée et l’action dans la
cité
. De là l’obligation de recourir à d’autres sources, — presque toutes