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e dans la cité (ou d’un défaut total d’éducation,
comme
en Russie). Ensuite il a donné une réponse à l’exigence religieuse de
2
t dans les campagnes. Cet épisode est symbolique,
comme
le prouve le rapport que fit à son sujet le chef fasciste de l’expédi
3
’illustrerai le premier point par notre situation
comme
Suisses. Et le second, par notre situation comme chrétiens. ⁂ L’exemp
4
comme Suisses. Et le second, par notre situation
comme
chrétiens. ⁂ L’exemple de la Suisse me tient à cœur à double titre :
5
pour moi. » Exemple à retenir, pour un petit pays
comme
le nôtre. Mais supposez que cette question soit résolue au mieux de n
6
qu’il doutait de sa vocation, de sa raison d’être
comme
État ; parce qu’il était miné par une intime tentation de suicide tot
7
roit et le devoir de rester neutres, ce n’est pas
comme
on le dit trop souvent en vertu de nos intérêts matériels, certes lég
8
non-violence de la victime, écrit l’auteur, agit
comme
le manque d’opposition physique dans le jiu-jitsu : elle fait perdre
9
ion violente à laquelle il s’attend. Il se trouve
comme
précipité dans un nouveau monde de valeurs, où il ne sait comment agi
10
ut chercher. Et je ne vous dis pas cela seulement
comme
personnaliste, adversaire du stalinisme et du fascisme ; je ne vous l
11
et du fascisme ; je ne vous le dis pas seulement
comme
Suisse, convaincu de la mission fédéraliste de son pays ; je vous le
12
on fédéraliste de son pays ; je vous le dis aussi
comme
chrétien. Refuser le jeu de l’agresseur violent, c’est le premier dev
13
et contre nous. Ils représentent notre châtiment,
comme
l’a magnifiquement montré Nicolas Berdiaev. Ce n’est pas à la méchanc
14
ort émouvante. La raison profonde d’un mouvement
comme
le nôtre — m’écrivait-il — est irrationnelle. Nous voulions croire à
15
t bientôt Rottmeister, c’est-à-dire quelque chose
comme
capitaine. Puis, sans doute écœuré par la brutalité et l’inutilité cr
16
il avait sous les yeux. Peut-être aussi rêve-t-il
comme
tout son siècle, et sans le savoir, d’une piété plus intérieure, d’un
17
’évolution intérieure de Nicolas semblait appeler
comme
une fin obscure et pourtant obsédante. Vie libre d’un laïque chrétien
18
t là toute sa nourriture. Car n’est-il pas écrit,
comme
il le répétera souvent : « L’homme ne vit pas de pain seulement, mais
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lui aussi, les pratiques les plus scrupuleuses :
comme
Nicolas, il espérait, de toute son âme, s’acquérir la sainteté par le
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te qui, et je les ai défendues avec grand sérieux
comme
saintes et nécessaires au salut. Avec tout le soin dont j’étais capab
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ées contre le service mercenaire à l’étranger. Et
comme
Johannes Faber tentait de lui opposer une parole de Nicolas conjurant
22
ons personnifiés prenaient la parole tour à tour,
comme
à la Diète (Uri se contentant parfois de sonner sa fameuse corne !),
23
indre au mur de sa cellule. Luther l’interprétait
comme
une prophétie contre le pape, dont la tête, dans l’image traditionnel
24
rois glaives, l’un d’eux appuyé contre ses lèvres
comme
pour l’empêcher de dire la Parole. Mais à partir de 1536, les catholi
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u bien — mais de le rendre aussi aux protestants,
comme
une part de leur héritage. Dans une période où le sens fédéral paraît
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en l’homme que tous à leur manière peuvent saluer
comme
l’ancêtre commun, et j’ajouterais : comme le parrain de cette « défen
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saluer comme l’ancêtre commun, et j’ajouterais :
comme
le parrain de cette « défense spirituelle du pays » que nous devons a
28
e spirituelle du pays » que nous devons approuver
comme
chrétiens, si nous ne voulons que d’autres s’en emparent. 3. Ce tr
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parti, ceux d’une autre nation… Nous faisons tous
comme
les petits enfants qui battent la table à laquelle ils se sont heurté
30
unité est si totale qu’on ne la ressent même plus
comme
un scandale. Elle est devenue toute naturelle. Le banquier dont je vi
31
e, est celui-ci : la culture apparaît aujourd’hui
comme
une activité de luxe, et l’action seule est tenue pour sérieuse. En v
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oici la preuve. Quand la situation devient grave,
comme
en cas de guerre par exemple, tout le monde trouve parfaitement natur
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i, la culture est devenue pour nous quelque chose
comme
une friandise. Elle n’est plus un pain quotidien. Quand on dit de que
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armonie, et où ce manque n’est même plus ressenti
comme
un scandale, je la vois condamnée à glisser, comme la nôtre, dans un
35
omme un scandale, je la vois condamnée à glisser,
comme
la nôtre, dans un désordre dont la guerre sera toujours le seul about
36
agique dans des pays moins menacés par la misère,
comme
par exemple nos petits États neutres, ne nous faisons pas d’illusions
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harmonieuse puissent être formulés dès maintenant
comme
un programme de parti politique. Ils doivent mûrir, et lentement se d
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et aux transformations sociales qu’il provoquait.
Comme
la culture elles ont renoncé à diriger, à avertir, à orienter. Et c’e
39
Un pour tous, tous pour un. Et me voici conduit,
comme
malgré moi, à des conclusions politiques — oserais-je dire patriotiqu
40
e nous, peut-être mieux !) Ce n’est pas non plus,
comme
le disait fort bien Karl Barth, pour protéger nos « lacs d’azur » et
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oujours une bataille. Entre l’esprit de lourdeur,
comme
disait Nietzsche, et les forces de création, la lutte sera toujours o
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persévérer. » Or cette espèce est rare en Suisse,
comme
dans tous les petits pays où l’ère bourgeoise, ère du « confort moder
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ce pas, aux yeux de qui refuse d’envisager la vie
comme
une totalité orientée par l’esprit. L’esprit prévoit le mal et tient
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y ». Kierkegaard nous décrit le règne de la masse
comme
celui des lâchetés individuelles additionnées, créant un champ illimi
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chose aujourd’hui menace la liberté, ce n’est pas
comme
jadis la superstition, […] c’est la préoccupation, la passion du bien
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progrès — ce progrès qui ne sait rien que répéter
comme
une horloge parlante : « Tout s’arrangera. » Or aujourd’hui pour « sa
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petits exemples…4 Nous avons critiqué sans merci
comme
des « utopies subversives » certaines réformes sociales qui eussent é
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de ceux qu’on aime et dont on attend la victoire
comme
la permission de revivre, c’est une épreuve encore, on ose à peine le
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rien, pour le confort. Nous ne sommes pas neutres
comme
on est rentier. Nous sommes neutres en vue de l’avenir. C’est là notr
50
ostat contre la chrétienté naissante, quand tout,
comme
aujourd’hui semblait perdu, Athanase prononça cette parole : Nubicula
51
l, on me répondra que je veux ruiner le pays. 5.
Comme
le fait Paul Reynaud devant le Sénat à l’instant où j’écris ceci. e.
52
et de nos grands renouvellements.6 » Aujourd’hui,
comme
aux heures héroïques de l’ancienne Confédération, sachons voir et sai
53
positions morales et matérielles sont ébranlées,
comme
elles le sont depuis quelques semaines, alors sonne une heure favorab
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se soit envahie, pourrions-nous penser à l’Église
comme
à notre Gothard spirituel ? L’existence permanente — même secrète — e
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animer notre espérance, notre amour et notre foi,
comme
le canon lointain ranimerait nos courages ? Nos Églises trouveraient-
56
r et de s’organiser par l’initiative des laïques,
comme
elles l’ont fait dans un pays voisin ? Je n’oserais pas répondre ce m
57
est-elle vraiment solide ? Saura-t-elle résister
comme
un roc ? comme une montagne vers laquelle nous pourrons élever notre
58
ent solide ? Saura-t-elle résister comme un roc ?
comme
une montagne vers laquelle nous pourrons élever notre espoir ? Encore
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son administration et de ses rapports avec l’État
comme
s’il s’agissait d’un parti ou d’une fondation de bienfaisance avec de
60
t, je veux dire par là : constituée face à l’État
comme
une autorité souveraine 9. Alors, si l’État change, l’Église ne chang
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un peu délicat. C’est une requête que je présente
comme
laïque à nos pasteurs, avec l’espoir que les laïques de cet auditoire
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des auditeurs n’auraient pas eu l’idée de faire.
Comme
laïque, je ne demande pas qu’on me persuade de croire, mais simplemen
63
raie communauté, je la définissais tout à l’heure
comme
suit : que nos Églises aient le courage d’être franchement des Église
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d’un de nos cultes, une prière liturgique isolée,
comme
la confession des péchés, certains pasteurs paraissent craindre la mo
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. L’Église visible est aussi une société humaine.
Comme
toute société humaine, elle a besoin de signes extérieurs et de symbo
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isses. Elle sera d’abord, probablement, dépaysée,
comme
je vous le disais tout à l’heure, par le ton du pasteur et le maintie
67
lecture de la confession des péchés, par exemple,
comme
cela se fait dans les Églises réformées de Paris ? Aurions-nous trop
68
s du Corps de Christ, et non pas des associations
comme
les autres. Avoir ensuite le souci de « désembourgeoiser » notre atmo
69
te » veux dire : libre de se gouverner elle-même,
comme
lorsqu’on parle de « l’indépendance » de la Suisse. 10. Canton de Ge
70
és et nos journaux ne se lassent pas d’invoquer —
comme
si cela allait de soi — chaque fois qu’on nous propose d’entrer dans
71
’opposeront plus les catholiques aux protestants,
comme
pendant la guerre de Trente Ans ; ni la France à l’Allemagne, ou l’Au
72
a France à l’Allemagne, ou l’Autriche à l’Italie,
comme
en 1914 ; ni même des Européens à d’autres Européens comme de 1939 à
73
1914 ; ni même des Européens à d’autres Européens
comme
de 1939 à 1945. Il n’est donc plus question pour la Suisse d’essayer
74
sif de citer nos adhésions tardives et réticentes
comme
autant de contributions à l’unité. Sur ce plan général, il semble dif
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fait son temps, endormis derrière la neutralité,
comme
la France en 1940 derrière la ligne Maginot, comme l’Amérique l’été d
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omme la France en 1940 derrière la ligne Maginot,
comme
l’Amérique l’été dernier derrière sa Bombe. Je voulais introduire, c
77
tralité de la Suisse se révèle utile à l’Europe —
comme
aujourd’hui sur le plan militaire — il faut la maintenir. Si au contr
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dans l’intérêt de l’Europe entière », et non pas
comme
un privilège qu’il n’y aurait plus à mériter. Elle est relative à l’E
79
e cette neutralité, tenez-vous certains arguments
comme
particulièrement décisifs à l’heure où nous sommes ? » Comme le préci
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culièrement décisifs à l’heure où nous sommes ? »
Comme
le précise une note finale, ce texte est issu « des chroniques lues à
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la fédération du continent : le premier n’étant,
comme
chacun sait, qu’un effort encore hésitant vers la seconde. Ensuite :
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eil de l’Europe comprend quinze États, et non dix
comme
le répète mon censeur, ce qui fausse ses calculs à la base. Finalemen
83
À propos de la réponse de David Lasserre publiée
comme
réponse à l’enquête des Cahiers sur « La Suisse et l’Europe ». o. Vo
84
on présente du christianisme (protestant surtout)
comme
l’inverse de celle du xixe siècle. Alors, dit-on, c’était la théolog
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non pas les principes du devoir moral, considérés
comme
révélés, invariables désormais et au surplus indispensables au mainti
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ntôt —, je vois se dessiner un tout autre schéma,
comme
un nouveau renversement, annonciateur d’une situation de nouveau comp
87
et remis au point à l’aide de pièces de rechange,
comme
une voiture. Pour la première fois dans l’Histoire de nos civilisatio
88
gues qui décide de certaines conduites sexuelles (
comme
la contraception) dans une société donnée, et non plus l’Église par s
89
, même s’il s’agit d’une intervention douloureuse
comme
peut l’être une extraction dentaire, ou d’une privation pénible comme
90
e extraction dentaire, ou d’une privation pénible
comme
de cesser de fumer, cela ne pose pas de problème, on le fait sans bar
91
u côté chrétien, me semblent enclins à considérer
comme
un malheur, voire une catastrophe, cette probabilité d’une sécularisa
92
théories imbéciles et navrantes sur la sexualité (
comme
celle du trop fameux Dr Tissot) qui ont joué le rôle que l’on sait da
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erait alors mise en état de pilotage automatique,
comme
disent les aviateurs et les cybernéticiens. L’ensemble purement empir
94
ndividu. Je le vois plutôt, ce candidat chrétien,
comme
celui qui, tout en accomplissant judicieusement la Loi prescrite, ne
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nommera sa « liberté ». Cela sera vu et ressenti
comme
un refus de la « solution définitive et universelle » proposée par la
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ournissait au monde les champions de cet art ; et
comme
j’étais alors une jeune recrue animée d’un extrême désir d’être promu
97
e même rapide montre que beaucoup de conventions,
comme
celles des jeux, traduisent des réalités psychologiques profondes, co
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peine de mort). Mais si la morale est considérée
comme
un système de normes conventionnelles adoptées par une société, et qu
99
e l’on conviendra donc d’observer rigoureusement,
comme
on le fait des règles d’un jeu, il faut souligner aussitôt que ces co
100
cralisé au cours des âges et finalement considéré
comme
des vérités de foi, révélées et indiscutables, des coutumes qui nous
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e commandement sur l’amour de Dieu et du prochain
comme
de soi-même. Or l’amour est une attitude fondamentale, de valeur univ
102
à considérer les préceptes et codes de la morale
comme
les règles du jeu d’une société ; 2. ceci implique — et facilite d’ai
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d’ailleurs — une stricte obéissance à ces règles,
comme
il va de soi dans tous les jeux et sports d’équipe ; 3. ceci exclut,
104
r de nouveau, pour qu’il me guide dans l’inconnu,
comme
ces avions qui dans la nuit suivent la route créée par un faisceau so
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sans penser à rien d’autre. Il n’est pas jalonné,
comme
les grandes voies publiques, de signes bien lisibles pour n’importe q
106
i, ne me servent de rien pour « faire mon salut »
comme
disait la piété classique. Il me faut me risquer dans un monde spirit
107
ndonne à l’élan, à l’attrait advienne que pourra,
comme
dans un saut… Dans ces moments, le But a dicté ses moyens. Il ne les
108
e l’avoue, mais que les Églises qui croyaient dur
comme
fer que leur mission était de régler la conduite morale de nos peuple
109
on cœur, l’époque où l’on pouvait brûler des gens
comme
moi. Je lui dirai : faites attention à l’Écriture, qui est, selon vos