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voisins n’ont pas de raisons de tenir le moindre
compte
. Si nous avons le droit d’être neutres, ce n’est pas en vertu d’un pr
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grand nombre que jamais, et ne se disent rien qui
compte
. Or quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’un ho
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es bernaient pour mieux les détrousser au bout du
compte
. « Mea culpa » des gens de gauche, dont le programme de bonheur oblig
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urs intérêts professionnels. Je me demande ce qui
compte
à leurs yeux, ce qui compte avant tout et pratiquement — songeant au
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Je me demande ce qui compte à leurs yeux, ce qui
compte
avant tout et pratiquement — songeant au jour où il faudra choisir en
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d’individualités chrétiennes, agissant pour leur
compte
— plus qu’au nom de l’Église — cela ne fait pas encore une vraie comm
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ntané : « Mon Dieu, ta loi est sainte… mais si tu
comptes
nos iniquités, qui pourra subsister devant toi ! »). III. Confession
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lle que les évêques reprirent peu à peu pour leur
compte
les charges des gouverneurs de provinces ou comes, lors de la décaden
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s vous lire ces deux pages inédites, et que je ne
compte
pas modifier dans la version finale du livre. Elles sont intitulées :