1
e je citais plus haut (Gebetlein), elle avait été
connue
et publiée d’abord par des protestants, en 1531 et 1546, bien avant d
2
e la Réforme » ! Elles ne visent qu’à faire mieux
connaître
une grande figure que trop de protestants ignorent, et qu’ils ignoren
3
s, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on
connaissait
auparavant. Ainsi Berlin passe, en un demi-siècle, de 25 000 habitant
4
es humaines informes et démesurées, là où l’on ne
connaissait
auparavant que des groupements organisés autour de petites entreprise
5
de ses succès mais aussi de ses échecs, que nous
connaissons
mieux que personne. Tout mon espoir est qu’il se forme ici des équipe
6
, nous aurions eu « des yeux pour voir », et pour
connaître
les démons. Voici venu le temps de la colère, le temps des plaies d’É
7
s saints, et que les familles qu’ils formaient ne
connaissaient
jamais de querelles de familles ! Les épîtres de Paul suffiraient à d
8
Celle-ci suppose des formes fixes et invariables,
connues
de tous, et auxquelles tout l’auditoire participe d’une manière à la
9
nage collectif, dans la communauté de mes frères,
connus
ou inconnus. Après cela, même si le sermon n’est pas des meilleurs, j
10
utralité, car je soupçonne qu’elle n’est pas bien
connue
de la plupart de nos contemporains. Aux origines lointaines de notre
11
les et plus nombreux. Les Suisses doivent d’abord
connaître
objectivement la question. Nous avons rédigé un questionnaire qui ser
12
il faut bien le reconnaître : ces scandales trop
connus
tiennent au fait que les Églises ont cru devoir édicter la morale de
13
i nous en vient. Ce n’est pas appliquer une règle
connue
, la même pour tous, en tous les temps, et révélée une fois pour toute