1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 e je citais plus haut (Gebetlein), elle avait été connue et publiée d’abord par des protestants, en 1531 et 1546, bien avant d
2 e la Réforme » ! Elles ne visent qu’à faire mieux connaître une grande figure que trop de protestants ignorent, et qu’ils ignoren
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
3 s, dix ou cent fois plus grandes que celles qu’on connaissait auparavant. Ainsi Berlin passe, en un demi-siècle, de 25 000 habitant
4 es humaines informes et démesurées, là où l’on ne connaissait auparavant que des groupements organisés autour de petites entreprise
5 de ses succès mais aussi de ses échecs, que nous connaissons mieux que personne. Tout mon espoir est qu’il se forme ici des équipe
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
6 , nous aurions eu « des yeux pour voir », et pour connaître les démons. Voici venu le temps de la colère, le temps des plaies d’É
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
7 s saints, et que les familles qu’ils formaient ne connaissaient jamais de querelles de familles ! Les épîtres de Paul suffiraient à d
8 Celle-ci suppose des formes fixes et invariables, connues de tous, et auxquelles tout l’auditoire participe d’une manière à la
9 nage collectif, dans la communauté de mes frères, connus ou inconnus. Après cela, même si le sermon n’est pas des meilleurs, j
5 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
10 utralité, car je soupçonne qu’elle n’est pas bien connue de la plupart de nos contemporains. Aux origines lointaines de notre
11 les et plus nombreux. Les Suisses doivent d’abord connaître objectivement la question. Nous avons rédigé un questionnaire qui ser
6 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
12 il faut bien le reconnaître : ces scandales trop connus tiennent au fait que les Églises ont cru devoir édicter la morale de
13 i nous en vient. Ce n’est pas appliquer une règle connue , la même pour tous, en tous les temps, et révélée une fois pour toute