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que nos Églises suisses soient les seules sur le
continent
qui croient pouvoir s’en passer, sans dommage ? L’absence de liturgie
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e par l’équilibre entre les grandes puissances du
continent
. Il s’agit aujourd’hui d’autre chose. L’idée d’une guerre prochaine e
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é représente un apport positif à la fédération du
continent
, c’est-à-dire à ses vrais intérêts. Mais sur le plan précis de la déf
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alité est une contribution réelle à la défense du
continent
, on ne saurait vraiment en dire autant de notre attitude méfiante et
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passe, soit encore une menace de guerre contre le
continent
tout entier, nous poseront ces questions précises. Il faut que notre
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nt » le Conseil de l’Europe avec la fédération du
continent
: le premier n’étant, comme chacun sait, qu’un effort encore hésitant
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s « cerveaux automatiques » d’une nation, ou d’un
continent
, ou d’une culture. Une question et une seule demeure alors sans répon