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naturelle et la plus instinctive : « Au signal du
danger
, armons-nous ! » L’instinct ancestral de l’homme, c’est de parer à la
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s populaire. J’ai à cœur cependant de montrer son
danger
pour nous Suisses. Et je voudrais, à titre personnel évidemment, prés
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pour éviter la pluie, on se jette à l’eau. Autre
danger
: si l’on accepte de jouer le jeu des armements, l’effrénée concurren
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tent de les précipiter. Il voit trop bien à quels
dangers
leur victoire même les exposera : s’ils font la guerre pour s’enrichi
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ps plus d’efforts qu’il n’en pouvait fournir sans
danger
pour la santé… Tout ce que je faisais, je le faisais en toute simplic
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, ils ont perdu cette chance. Ils n’ont pas vu le
danger
, ils ont eu peur de le prévoir. Et c’est ici que nous allons découvri
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verbes. Et lorsqu’on nous avertissait de certains
dangers
formidables qui menaçaient l’existence même de l’héritage européen, n
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ndant, mettons-nous au travail pour qu’au jour du
danger
— toujours probable ! —, nous nous trouvions aussi bien préparés qu’i
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ère qui essaie de survivre et de s’unir contre un
danger
commun. Nous sommes tous dans le même sac, si j’ose dire. La seule qu
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rsonne de dormir. Mais tout le monde pense à deux
dangers
communs : l’un idéologique et militaire, à l’Est ; l’autre économique
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. Précédé de la note suivante : « L’Europe est en
danger
. Les efforts pour unir l’Europe se multiplient. Il semble que les obs