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s marxistes ». Si le fascisme s’est imposé, c’est
donc
d’abord grâce à la protection de la police. Mais cela supposait la co
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urgeois, banquiers et dirigeants de trusts. C’est
donc
à une complicité quasi universelle que le fascisme a dû de s’emparer
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remier qui saura lui répondre qui vaincra. Soyons
donc
les premiers chez nous, répondons d’une manière plus humaine que les
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itique est la plus proche du personnalisme. C’est
donc
à propos de la Suisse que je pourrai le mieux faire saisir la portée
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t. Quand il y a trop de médecins dans un pays, et
donc
chômage dans la profession médicale, personne n’a jamais eu l’idée de
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vre, elles perdront leurs raisons de vivre. Voici
donc
le dilemme que nous pose ce mimétisme totalitaire : ou bien la démocr
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d’inventer des formes de défense non militaires,
donc
non totalitaires. Je ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le
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ur un terrain où ils se renient eux-mêmes. Il est
donc
vital pour nous de refuser ce défi, de déjouer ce calcul, et de ne pa
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aient pas d’armures ni de lances : ils trichèrent
donc
au jeu où l’adversaire devait gagner, et se défendirent avec leurs mo
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t à la fin du xve siècle. Son existence coïncide
donc
exactement avec la dernière période d’unité de l’Église occidentale.
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éloges dans un ouvrage daté de 1522. (Nous sommes
donc
aux tout premiers jours de la Réforme.) En 1529, un protestant bernoi
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onomiser du travail d’hommes par les machines, et
donc
de créer du loisir ; d’autre part, d’élever le niveau général du conf
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ment, aux proportions de la nation entière. Voici
donc
, dans tous les domaines, que nos pouvoirs d’agir matériellement grand
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orteur de tels pouvoirs de vie et de mort. Songez
donc
: si tous ces pouvoirs avaient été coordonnés, orientés par une vue g
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s erreur ni malentendu. Les lieux communs étaient
donc
à la base de toute la vie sociale du siècle. Que sont-ils devenus par
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uels — et j’ajouterai : leur seul pouvoir — c’est
donc
de rechercher l’homme perdu. Or l’histoire nous apprend que l’homme n
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ales. Que peut-il seul, contre ces lois ? Il faut
donc
, s’il veut faire quelque chose, qu’il entre dans un grand parti, dans
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ode pas du tout de sa vocation personnelle. Voici
donc
le dilemme où nous placent la culture actuelle et le monde actuel : o
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intolérance qui veut tout uniformiser, et qui est
donc
une mort de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux i
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rre la plus antisuisse de toute l’histoire. C’est
donc
pour nous la pire menace. Mais en même temps, la plus belle promesse
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s égoïsmes que nous refusions à l’amour, pourquoi
donc
voulez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la sécurité ? Nous
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irie : « mea culpa ». Mais quelles fautes avaient
donc
commises ces millions de femmes et d’enfants en fuite sur les routes
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oints est avant tout théologique. Je n’insisterai
donc
pas : vous avez entendu et entendrez encore des orateurs beaucoup plu
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ils sont déplacés. Que nos Églises se préoccupent
donc
davantage d’être vraiment ouvertes à tous ! C’est une question de foi
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ut en principe toute doctrine unitaire et suppose
donc
la connaissance très vivante d’une autre espèce d’union, sans cesse à
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t vraiment, ce n’est pas beaucoup dire. Il serait
donc
temps qu’en Suisse au moins, l’on essaie de comprendre un peu mieux l
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fût gardé libre pour tout le Saint-Empire. Ainsi
donc
, dès le début, ce premier noyau de la Suisse a reçu un statut spécial
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. Il était évident que notre neutralité dépendait
donc
, au début de ce siècle, du fameux « équilibre européen ». Mais déjà
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d’autres Européens comme de 1939 à 1945. Il n’est
donc
plus question pour la Suisse d’essayer de maintenir sa place centrale
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« Les vrais intérêts de l’Europe entière », c’est
donc
tout simplement que l’Europe devienne entière, qu’elle mette en commu
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l’union, mais par intérêt bien compris. Il serait
donc
un peu excessif de citer nos adhésions tardives et réticentes comme a
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s pour l’abandon de notre neutralité ? je ne puis
donc
répondre oui ou non. Le problème ne peut pas être posé, encore moins
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raire à l’esprit même de son statut, et elle peut
donc
demain devenir une trahison. Car je le répète : notre neutralité a ét
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le jeu des forces politiques de notre temps ! Où
donc
ai-je soutenu « sans réserve » que la Suisse devrait subordonner sa p
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ocial, ses possibilités de travail et de loisirs,
donc
aussi sa culture et sa liberté. Nous tendons de la sorte, dans les pa
36
’entends : sans débats insolubles), sans Histoire
donc
; disciplinée, normalisée et préconditionnée dès le secret de la cell
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précepte reçu. 3. Toute action efficace commence
donc
par la fin. Avant toute chose, il faut considérer la fin. 4. La fin s
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aussi, mais sans eux, c’est l’embouteillage. Ceux
donc
qui, depuis deux siècles, reprennent inlassablement l’attaque contre
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riptions morales sont des conventions ne signifie
donc
pas qu’elles soient méprisables ou vaines, bien au contraire. De plus
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adoptées par une société, et que l’on conviendra
donc
d’observer rigoureusement, comme on le fait des règles d’un jeu, il f
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e suggère, inexplicablement, ma foi en lui. C’est
donc
le But qui me communique les seuls moyens d’aller vers lui, dans la s
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édent, parce qu’il n’y a pas deux hommes pareils,
donc
pas deux chemins pareils allant d’un homme à Dieu. Mais je pressens q