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plus : sa vocation profonde triomphe de tous ses
doutes
, et même de ses devoirs et attachements humains. Quelle vocation ? Ce
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science, et surtout l’honnêteté. C’est sans aucun
doute
à cette dernière qualité que nous devons de pouvoir redécouvrir aujou
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0)c d Le fait même que nous éprouvions tous un
doute
sur l’opportunité d’une conférence en temps de guerre, ce fait est si
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torité, et non pas que l’on prenne au sérieux mes
doutes
éventuels. Notre génération n’est pas si tourmentée de doutes. Elle n
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uels. Notre génération n’est pas si tourmentée de
doutes
. Elle n’a guère la manie de discuter. Elle attend des directions posi
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de à la prédication de parler à sa foi, non à son
doute
, avec la tranquille et familière assurance de la foi. Car la convicti
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e », etc. Sans délai, sans débat, sans le moindre
doute
, on fait ce qu’a ordonné le médecin, au lieu de se débattre intermina
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ident qu’elle provoque une série de questions, de
doutes
et de reproches hélas bien faciles à prévoir. Le psychologue me dira
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ien non, je n’en suis jamais sûr ! La foi sans le
doute
n’est pas la foi, ont répété bien avant moi Luther et Kierkegaard. Un
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ntre les deux extrêmes du désert et du déluge, du
doute
aride et de l’émotivité prompte aux larmes, du positivisme et de l’il
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que certains attendraient peut-être, mais dont je
doute
qu’aucun chrétien puisse les donner. Les « païens » et l’Antiquité vi