1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 élévation. Comment prendre vraiment au sérieux un drame qui se dénoue si facilement, un héros dont l’activité se résume dans
2 int que je n’hésitai pas à en faire le sujet d’un drame , qui sera représenté à Zurich en septembre, et pour lequel Arthur Hon
3 e extrême dévotion, ses proches ont bien senti le drame intime, longuement couvé et mûri. Sans doute a-t-il eu des visions, p
4 point songer à la piété du jeune Luther, et à ce drame de Wittemberg dont la Réforme devait sortir ? Rappelez-vous le moine
5 é et simple fidèle, une sorte de préfiguration du drame qui se jouera un peu plus tard dans la conscience infiniment plus ave
6 ce fait, très généralement ignoré : les premiers drames mettant en scène Nicolas ont été bel et bien des drames protestants,
7 mettant en scène Nicolas ont été bel et bien des drames protestants, composés par des disciples de Zwingli, voire dans des in
8 les catholiques, à partir de 1569. 3. Satires et drames . — La première mention de Nicolas dans une satire catholique date de
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
9 es fondamentaux de la foi réformée, mais aussi du drame chrétien dans son déroulement biblique : la Loi d’abord, qui nous con
10 ns une langue frappante les différents moments du drame du salut. Elle crée le cadre et l’atmosphère spirituelle, elle introd
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
11 ociété qui serait, à la limite, sans surprises ni drames , sans vrais débats (j’entends : sans débats insolubles), sans Histoir