1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 on Dieu, arrache-moi à moi-même et donne-moi tout entier à toi seul ! Il n’est pas facile de caractériser en quelques mots ce
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
2 guerre, brusquement, aux proportions de la nation entière . Voici donc, dans tous les domaines, que nos pouvoirs d’agir matériel
3 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
3 reçu un statut spécial dans l’intérêt de l’Europe entière , au moins autant que pour lui-même. La première idée d’une neutralité
4 isse […] sont dans les vrais intérêts de l’Europe entière  ». En 1914, on retrouve ce même mélange d’intérêt propre et d’intérêt
5 n’y a plus d’équilibre européen. Il y a l’Europe entière qui essaie de survivre et de s’unir contre un danger commun. Nous som
6 est encore « dans les vrais intérêts de l’Europe entière  ». Apporte-t-elle, ou non, une contribution effective à la défense co
7 ls sont, en somme, les vrais intérêts de l’Europe entière  ? Sont-ils les mêmes aujourd’hui qu’il y a cent-cinquante ans, ou mêm
8 ion que l’union. « Les vrais intérêts de l’Europe entière  », c’est donc tout simplement que l’Europe devienne entière, qu’elle
9 c’est donc tout simplement que l’Europe devienne entière , qu’elle mette en commun toutes ses forces pour relever son économie,
10 ue cela ne pourrait être qu’au profit de l’Europe entière , c’est-à-dire au profit de son union fédérale, et de cela seul. Encor
11 ore une menace de guerre contre le continent tout entier , nous poseront ces questions précises. Il faut que notre opinion soit
12 e par les puissances « dans l’intérêt de l’Europe entière  », et non pas comme un privilège qu’il n’y aurait plus à mériter. Ell
4 1951, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Réplique à M. Lasserre (mars-avril 1951)
13 naturellement insisté sur « l’intérêt de l’Europe entière  » parce que c’était par ce biais-là que je pouvais aborder le problèm
14 ité, ce ne pourrait être qu’au profit de l’Europe entière et de son union fédérale ; et j’ai ajouté : « Encore faut-il que cett