1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 utres une brève explication, dont l’intérêt, je l’ espère , débordera cette anecdote personnelle. Il m’est apparu, en effet, à m
2 atiques les plus scrupuleuses : comme Nicolas, il espérait , de toute son âme, s’acquérir la sainteté par les voies qu’ordonnait
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
3 possibilité de repenser une société. Raisons d’ espérer  : la culture et les groupes Je voudrais vous dire, maintenant, les
4 ais vous dire, maintenant, les raisons que j’ai d’ espérer , après avoir tant critiqué. Je voudrais vous énumérer les premiers su
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
5 t à la maxime du Taciturne : « Pas n’est besoin d’ espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer. » Or cette espèce e
6 rtunes, à l’heure où nous cherchons des raisons d’ espérer  ! Mais nul espoir n’est plus possible, sachons-le, si nous refusons m
7 mesurée des choses, nous sommes réduits à ne plus espérer qu’au nom de l’unique nécessaire : « L’amour parfait bannit la craint
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
8 ment lointain des canons du Gothard nous dirait d’ espérer . Maintenant, je poserai cette question : dans la situation extrême qu
5 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
9 ais introduire, ce soir, une discussion qui, je l’ espère , deviendra générale, et qui me paraît vitale pour notre avenir. Je me