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les mains et laisse les choses suivre leur cours
fatal
. En présence des machines, des capitaux, des armées et des villes, et
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it conduire le Progrès, abandonné à son mouvement
fatal
. Le développement de l’industrie a produit évidemment beaucoup d’auto
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l’histoire et la sociologie ont encombré de lois
fatales
. Que peut-il seul, contre ces lois ? Il faut donc, s’il veut faire qu
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ite dans les bibliothèques. Or cette idée de lois
fatales
avait été empruntée à la science, et transportée abusivement dans les
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es de notre société. En vérité, il n’est de lois
fatales
que là où l’esprit démissionne. Toute action créatrice de l’homme nor
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Notre culture libérée de la superstition des lois
fatales
peut envisager de nouveau d’influencer le monde réel, ramené en droit
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u’est-ce que la guerre actuelle ? C’est la rançon
fatale
du gigantisme et de la démission de la culture. C’est la faillite des