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sentiment d’infériorité collective, un manque de
foi
réelle qui se déguise en défi, par désespoir. Mais là encore, je ne p
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taires, c’est la réponse vraiment totale de notre
foi
. La foi chrétienne, pour les mystiques idolâtres, c’est un adversaire
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c’est la réponse vraiment totale de notre foi. La
foi
chrétienne, pour les mystiques idolâtres, c’est un adversaire plus sé
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us faire une idée, et mieux : un sentiment, de la
foi
du « pieux homme frère Claus ». Nous en sommes forcément réduits à de
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emps tout d’abord, mais aussi par rapport à notre
foi
. La tendance la plus apparente est celle que les catholiques mettent
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tiques ou malgré elles, une intériorisation de la
foi
, mais aussi une volonté de communion et presque de communisme spiritu
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f, une certaine déviation « spiritualiste » de la
foi
, mais compensée par un salutaire redressement du sens moral et commun
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ment Nicolas dans son Catalogue des témoins de la
foi
qui se sont dressés avant Martin Luther, par la parole et par l’écrit
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ole de Nicolas conjurant les Suisses de garder la
foi
de leurs pères, Zwingli réplique que les réformés sont les véritables
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s disciples du solitaire, puisqu’ils ont gardé la
foi
la plus ancienne, celle des Apôtres, et se sont refusés à faire comme
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suppose le bien de chacun ; Nicolas témoin de la
foi
dans une époque où toute la chrétienté était encore extérieurement un
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dans la présence effective de la pensée et de la
foi
à toutes les misères de ce monde. La liberté : tout le monde l’invoqu
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gles véritablement communes, ordonnées à une même
foi
, à un même évangile, à une même espérance. Ainsi encore, au temps de
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rs bafoué, au-delà du pessimisme lâche, il y a la
foi
dans l’éternel, il y a l’amour et l’espérance de l’éternel. À quoi se
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s à ranimer notre espérance, notre amour et notre
foi
, comme le canon lointain ranimerait nos courages ? Nos Églises trouve
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alors plus importants que tout. La ferveur de la
foi
nouvelle liait les esprits et les cœurs avec une telle puissance que
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vraiment ouvertes à tous ! C’est une question de
foi
et de maintien, de tact humain, de charité. C’est aussi, et c’est ava
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ade de croire, mais simplement qu’on nourrisse ma
foi
. J’attends qu’on me parle avec une calme autorité, et non pas que l’o
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, et elle demande à la prédication de parler à sa
foi
, non à son doute, avec la tranquille et familière assurance de la foi
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, avec la tranquille et familière assurance de la
foi
. Car la conviction seule est convaincante. Tout ceci ne veut pas dire
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ectif non seulement des dogmes fondamentaux de la
foi
réformée, mais aussi du drame chrétien dans son déroulement biblique
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, la grâce accordée, et enfin le témoignage de la
foi
. À mon sens, cette liturgie est une des plus belles, dans sa simplici
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répéter chaque dimanche les grandes vérités de la
foi
, j’éprouve le besoin de participer, par le chant ou la récitation, à
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qui manifestent, visiblement, la communauté de la
foi
, de l’humiliation, ou de la joie chrétienne. Ce sont des gestes, enfi
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logique (elle est en plein essor) ; confession de
foi
(on en parle beaucoup) ; doctrine des sacrements… 9. Je n’entends pa
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âges et finalement considéré comme des vérités de
foi
, révélées et indiscutables, des coutumes qui nous venaient d’un peu p
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ersonnel, qui le rend à peine discernable pour ma
foi
seule, va permettre à mes voisins soucieux de mon sort de mettre en d
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d’autre soutien que ma croyance par éclairs, ma «
foi
» dans l’existence de ce But qu’on ne peut voir et que personne n’a j
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re, que ceux que me suggère, inexplicablement, ma
foi
en lui. C’est donc le But qui me communique les seuls moyens d’aller
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tifique et séculière des moyens d’une part, et la
foi
aux fins transcendantes d’autre part, cette distinction fondamentale
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ent ? — Eh bien non, je n’en suis jamais sûr ! La
foi
sans le doute n’est pas la foi, ont répété bien avant moi Luther et K
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is jamais sûr ! La foi sans le doute n’est pas la
foi
, ont répété bien avant moi Luther et Kierkegaard. Un théologien dira
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e ne les minimise pas : ce sont les risques de la
Foi
et de la confiance dans le Saint-Esprit. Je souligne seulement que le