1
er une parole de Nicolas conjurant les Suisses de
garder
la foi de leurs pères, Zwingli réplique que les réformés sont les vér
2
véritables disciples du solitaire, puisqu’ils ont
gardé
la foi la plus ancienne, celle des Apôtres, et se sont refusés à fair
3
ommes chargés de la défendre contre elle-même, de
garder
son trésor, d’affirmer sa santé, et de sauver son avenir. Si nous tra
4
la Suisse fût envahie, j’imagine qu’elle pourrait
garder
pendant des mois, peut-être des années, un grand espoir et une grande
5
Suisses parce que nous sommes chrétiens d’abord.
Gardons
-nous du Schweizerchristentum ! À ces Schweizer Christen dont je viens
6
par l’empereur afin que le passage du Gothard fût
gardé
libre pour tout le Saint-Empire. Ainsi donc, dès le début, ce premier