1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
1 simple qu’une gifle ne vaut rien pour la guerre. Grâce à Dieu, nous sommes encore neutres, et nous avons encore le droit de
2 oratoire, un corps nouveau, un puissant explosif, grâce auquel l’industrie pourra faire un grand pas. Il fonde d’autre part,
3 es encore épargnés, ne perdons pas notre délai de grâce  : c’est à nous de gagner la vraie paix, c’est à nous d’engager sans i
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
4 y resteront-ils. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je parlais aux Hollandais, en novembre de l’an dernier — et c’es
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
5 mais seulement pour tout le monde, faites-nous la grâce de n’en point vouloir ». Car « la société qui veut m’ôter ma religion
6 Christ, aie pitié de nous !… »). V. Promesses de grâce et absolution collective (l’assemblée debout chante : « Ô qu’heureux
7 , puis la conscience, le péché, la repentance, la grâce accordée, et enfin le témoignage de la foi. À mon sens, cette liturgi
4 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
8 e luttes passionnantes entre le « péché » et la «  grâce  », c’est-à-dire entre les tentations de la « chair » et les refus déc