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uté restaurée, d’un coude-à-coude physique, d’une
grande
camaraderie. Et ce sont là les vraies raisons de sa puissance. C’est
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tte police. Pour ne rien dire, naturellement, des
grands
bailleurs de fonds bourgeois, banquiers et dirigeants de trusts. C’es
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iques les plus sérieux sur la naissance des trois
grandes
dictatures, on constate l’existence d’une sorte de loi historique : l
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riels, certes légitimes à nos yeux, mais dont nos
grands
voisins n’ont pas de raisons de tenir le moindre compte. Si nous avon
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mune mesure spirituelle. Nous avons tous trahi le
grand
devoir communautaire de l’Église, parce que nous avons transformé le
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e Flue et la Réforme (août 1939)b Pour la très
grande
majorité des Suisses d’aujourd’hui, surtout dans les cantons protesta
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. Le concile de Constance venait de mettre fin au
Grand
Schisme de la catholicité. Au pape d’Avignon, au pape de Rome, à l’an
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s uns poussés par la curiosité, les autres par le
grand
désir de recevoir une parole simple et forte, un conseil, une révélat
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nt que n’importe qui, et je les ai défendues avec
grand
sérieux comme saintes et nécessaires au salut. Avec tout le soin dont
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manière très convaincante par la lecture des deux
grands
recueils de documents sur Nicolas que publiait, au lendemain de la gu
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Saint-Gall, qui mentionne le Frère Claus avec de
grands
éloges dans un ouvrage daté de 1522. (Nous sommes donc aux tout premi
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n (Joachim von Watt, réformateur de Saint-Gall et
grand
humaniste) ; d’Œcolampade (réformateur de Bâle) ; d’Ulrich Campell, p
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! Elles ne visent qu’à faire mieux connaître une
grande
figure que trop de protestants ignorent, et qu’ils ignorent le plus s
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ante impuissance de l’esprit devant ce monde. Tel
grand
chimiste scandinave invente, dans son laboratoire, un corps nouveau,
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xplosif, grâce auquel l’industrie pourra faire un
grand
pas. Il fonde d’autre part, avec l’argent gagné, un prix considérable
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vous citerai un cas individuel assez typique. Un
grand
banquier de Paris, membre d’un comité de bienfaisance, fut interrogé
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ensemble. Ce qui nous manque absolument, c’est un
grand
principe d’unité entre notre pensée et nos actions. Cette absence d’u
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création de villes énormes, dix ou cent fois plus
grandes
que celles qu’on connaissait auparavant. Ainsi Berlin passe, en un de
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révoir. Et c’est ici que nous allons découvrir le
grand
ennemi de la culture ; c’est chez les philosophes et les penseurs qu’
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asphème contre les préjugés du siècle : « Le plus
grand
adversaire de l’esprit, c’est la presse quotidienne. On ne peut plus
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produit la lutte des classes et le chômage, et la
grande
ville, cette catastrophe humaine, l’un des désastres moraux de l’Hist
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faute d’harmonie et de mesure humaine, faute d’un
grand
principe directeur, spirituel ou culturel. Tout cela parce qu’on pens
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ent, c’est la misère. Et quand la misère est trop
grande
, alors c’est l’État-providence qui se charge de tout mettre au pas. L
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nt plus. Les hommes échangent des paroles en plus
grand
nombre que jamais, et ne se disent rien qui compte. Or quand la parol
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propagande brutale s’en chargera. À la place des
grands
lieux communs chargés de sens traditionnel, nous aurons des slogans,
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C’est ainsi que tout récemment le ministre d’une
grande
puissance, le camarade Molotov, déclarait que le mot d’agression avai
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si bien que les chefs, obscurément, dans les trop
grands
pays. C’est une angoisse informulée, mais dont les signes sont partou
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Et c’est à cet appel qu’ont répondu les chefs des
grands
mouvements collectivistes. Tout leur génie, s’il faut leur en reconna
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courants d’opinion, aux modes, à la publicité des
grandes
firmes et des grands partis politiques. À ce moment se produit fatale
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x modes, à la publicité des grandes firmes et des
grands
partis politiques. À ce moment se produit fatalement ce que j’appelle
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te l’histoire de l’Europe peut être ramenée à ces
grands
balancements d’un pôle à l’autre. À l’anarchie individualiste de la G
32
’il veut faire quelque chose, qu’il entre dans un
grand
parti, dans une grande organisation. Mais alors, il subit une discipl
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chose, qu’il entre dans un grand parti, dans une
grande
organisation. Mais alors, il subit une discipline qui ne s’accommode
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mense démission de l’esprit civique dans les trop
grands
pays. Elles ne traduisent en fait qu’un immense affaissement du sens
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’à l’ère du rationalisme, les Églises ont été les
grandes
pourvoyeuses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale, p
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à orienter. Et c’est là le secret du triomphe des
grands
mouvements collectivistes. Si le marxisme, par exemple, a fasciné les
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, d’ores et déjà, un présent. Il ne s’agit pas de
grands
mots, de lyrisme ou d’idéalisme. Il s’agit de voir qu’en fait, si nou
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heure est venue pour nous autres Suisses, de voir
grand
, de voir aux proportions de l’Europe moderne, tout en gardant la mesu
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pendant cent ans d’envisager ? Pourtant, les plus
grands
hommes du dernier siècle furent unanimes à prévoir le destin qui main
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conscience européenne : vous y trouverez les plus
grands
noms de la pensée, qui furent aussi les plus cyniquement méconnus. Vo
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ra que ruines et détritus à déblayer, même si les
grandes
démocraties ont la victoire. Non pas le bonheur fait de laisser-aller
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ou de se décourager, bien au contraire. C’est une
grande
occasion de travailler. Voyons d’abord la situation de notre pays. «
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uvelle dans notre histoire. Elle fut celle de nos
grandes
victoires et de nos grands renouvellements.6 » Aujourd’hui, comme aux
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Elle fut celle de nos grandes victoires et de nos
grands
renouvellements.6 » Aujourd’hui, comme aux heures héroïques de l’anci
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urope et rendez-vous des races, le Gothard est le
grand
symbole de notre mission politique et de notre sécurité. Et s’il fall
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garder pendant des mois, peut-être des années, un
grand
espoir et une grande fierté, parce qu’elle saurait que dans cette for
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ois, peut-être des années, un grand espoir et une
grande
fierté, parce qu’elle saurait que dans cette forteresse du Gothard, q
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i définisse les reconstructions nécessaires. ⁂ La
grande
faiblesse de notre Église visible, de nos diverses Églises suisses, c
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décent que ces affaires soient débattues dans nos
Grands
Conseils, par des hommes qui parfois ignorent tout de la réalité de l
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de vérité, sans le savoir le plus souvent. Il est
grand
temps que nous fassions en sorte que tous « ceux du dehors » puissent
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et ne jugent pas cela « trop simple ». Jamais, au
grand
jamais, un pasteur ne sera trop simple ! Jamais il ne pourra se rappr
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bliquement sa cohésion spirituelle. Il y a là une
grande
loi sociologique qu’on ne peut pas négliger sans risques graves. Tous
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le besoin d’entendre répéter chaque dimanche les
grandes
vérités de la foi, j’éprouve le besoin de participer, par le chant ou
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que la situation actuelle exige de nos Églises un
grand
effort vers la communauté vivante. Ce sera peut-être une question de
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ouvoir être assurée que par l’équilibre entre les
grandes
puissances du continent. Il s’agit aujourd’hui d’autre chose. L’idée
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rétend rester neutre quand tout le monde réarme à
grands
cris. Mais attention : les cris ne sont pas des armes ! La vérité, c’
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aut savoir tout d’abord, c’est pour quelle raison
grande
et forte, c’est en somme au profit de quoi la Suisse devrait éventuel
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s pouvant être présentés à la « Machine » avec un
grand
M que nous supposerons directrice ou correctrice de tous les « cervea
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r accident, mais par nécessité de méthode. Car la
grande
Machine directrice la déclare sans objet, mal posée, fausse question
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t sur la situation que je viens de caractériser à
grands
traits, j’avais écrit dès 1945 — l’été d’Hiroshima — un manuscrit de
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sous de la cible. Cependant la date approchait du
grand
concours que l’on nommait « tir au galon ». Dans chaque unité, on pou
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’ai découvert que la secte bouddhiste du zen fait
grand
usage du Tir et de la méditation sur cet art. Il s’agit du tir à l’ar
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et des Germains. Le christianisme, étant la seule
grande
religion qui n’ait pas institué de morale codifiée, devait fournir un
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r à rien d’autre. Il n’est pas jalonné, comme les
grandes
voies publiques, de signes bien lisibles pour n’importe qui, puisque
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ocation, qui est au sens littéral improbable. Les
grandes
voies publiques, bien que réglées par la Loi, ne me servent de rien p
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ation. — À quoi je réponds que le risque est très
grand
, je l’avoue, mais que les Églises qui croyaient dur comme fer que leu
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ut sûr qu’il ait tort) d’ouvrir les portes toutes
grandes
au subjectivisme intégral, à l’illuminisme, au quiétisme, et simpleme
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hardin : chaque homme n’est pas appelé à faire de
grandes
choses, c’est vrai, mais, par sa solidarité avec une grandeur qui le