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u’une poussière de petits individus, impuissants,
isolés
, anxieux. Allons-nous retomber dans une folie inverse, encore plus gr
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ns assisté depuis une trentaine d’années. L’homme
isolé
, dans un monde trop vaste, ne se sent plus porté au sein d’un groupe.
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ù naît le besoin d’un coude à coude où l’individu
isolé
retrouve des contraintes qui le rassurent. Appel à une communauté : c
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e fait pas encore une vraie communauté. Des actes
isolés
, si beaux soient-ils, cela ne fait pas un esprit de corps, — et l’exp
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u début d’un de nos cultes, une prière liturgique
isolée
, comme la confession des péchés, certains pasteurs paraissent craindr