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fin obscure et pourtant obsédante. Vie libre d’un
laïque
chrétien, hors de tout ordre monastique, hors du clergé constitué. À
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subsister et de s’organiser par l’initiative des
laïques
, comme elles l’ont fait dans un pays voisin ? Je n’oserais pas répond
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ion des esprits. C’est aussi notre affaire à nous
laïques
. Nous n’aimons pas à être dérangés dans nos petites habitudes du dima
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délicat. C’est une requête que je présente comme
laïque
à nos pasteurs, avec l’espoir que les laïques de cet auditoire l’appu
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omme laïque à nos pasteurs, avec l’espoir que les
laïques
de cet auditoire l’appuieront pratiquement dans leurs paroisses. Je v
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uditeurs n’auraient pas eu l’idée de faire. Comme
laïque
, je ne demande pas qu’on me persuade de croire, mais simplement qu’on
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l’autre. Je ne parlerai pas non plus du rôle des
laïques
dans la paroisse, qui pourrait être développé encore, afin de décharg
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au problème de la liturgie protestante. C’est un
laïque
qui parle ici, je le répète. Ce n’est pas un docteur de l’Église ! Le
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e la liturgie, tant à nos bons théologiens qu’aux
laïques
, généralement ignorants de cette question, ou retenus par des préjugé
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toujours plus précises et impératives. Quant aux
laïques
et au clergé de l’Église chrétienne, je pense que leur rôle spécifiqu