1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 Mais cela supposait la complicité des ministères libéraux qui dirigeaient cette police. Pour ne rien dire, naturellement, des g
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
2 l’invoque, n’est-ce pas ? Mais pour l’économiste libéral , cela signifie le droit de ruiner le voisin par le jeu de la concurre
3 à présent vers une communauté solide et pourtant libérale  ? Il nous faut rapprendre à penser, à penser dans le train de l’actio
4 que l’homme soit foule. Le monde rationaliste et libéral supposait que l’humanité n’était qu’un assemblage d’individus, d’homm
5 qu’il nous faut rebâtir. Cité solide et pourtant libérale  : c’est tout le problème à résoudre. La solution fédéraliste Pa
6 de l’esprit. La tolérance était la pâle vertu des libéraux individualistes. L’intolérance est la sombre vertu des partisans coll
7 même il offre tous les avantages de la tolérance libérale , mais non pas ses inconvénients : car chacun dans le groupe où il est
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
8 n sportive, aux réalistes qui l’engendrèrent, aux libéraux qui ne peuvent en croire leurs yeux. Avis aux Suisses. Les Suisses on