1
de liturgie qui me choque, mais le manque de sens
liturgique
que manifestent les essais tentés ici ou là, pour remédier à cette ab
2
de temps à autre, des cultes que nous appelons «
liturgiques
» et qui consistent en lectures bibliques ou littéraires, entrecoupée
3
d’orgue. Eh bien, le seul fait de qualifier de «
liturgiques
» ces manifestations — peut-être parce qu’on ne saurait pas comment l
4
anée et réglée d’avance. Or nos cultes soi-disant
liturgiques
sont exactement le contraire : ils sont composés selon les goûts et l
5
gnificatif, à mes yeux, de ce même défaut de sens
liturgique
: lorsqu’il arrive qu’on lise, au début d’un de nos cultes, une prièr
6
’on lise, au début d’un de nos cultes, une prière
liturgique
isolée, comme la confession des péchés, certains pasteurs paraissent
7
leur conception du style. Or justement, la valeur
liturgique
d’un texte réside dans son invariabilité. C’est grâce à cette invaria