1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
1 de liturgie qui me choque, mais le manque de sens liturgique que manifestent les essais tentés ici ou là, pour remédier à cette ab
2 de temps à autre, des cultes que nous appelons «  liturgiques  » et qui consistent en lectures bibliques ou littéraires, entrecoupée
3 d’orgue. Eh bien, le seul fait de qualifier de «  liturgiques  » ces manifestations — peut-être parce qu’on ne saurait pas comment l
4 anée et réglée d’avance. Or nos cultes soi-disant liturgiques sont exactement le contraire : ils sont composés selon les goûts et l
5 gnificatif, à mes yeux, de ce même défaut de sens liturgique  : lorsqu’il arrive qu’on lise, au début d’un de nos cultes, une prièr
6 ’on lise, au début d’un de nos cultes, une prière liturgique isolée, comme la confession des péchés, certains pasteurs paraissent
7 leur conception du style. Or justement, la valeur liturgique d’un texte réside dans son invariabilité. C’est grâce à cette invaria
2 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
8 e l’inceste chez les tribus sauvages, des rituels liturgiques aux lois fiscales, des techniques destinées à assurer le bonheur dans