1 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
1 t cela ne sera que ruines et détritus à déblayer, même si les grandes démocraties ont la victoire. Non pas le bonheur fait de l
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
2 et qu’elle rayonne encore, quoi qu’il arrive, oui même si le pire arrive. Au cœur physique de notre Confédération se dresse le
3 plupart des villes, et dans beaucoup de villages. Même si de nombreuses familles d’ouvriers en font encore partie, c’est un fai
4 té de mes frères, connus ou inconnus. Après cela, même si le sermon n’est pas des meilleurs, j’ai tout de même le sentiment d’a
3 1968, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Pour une morale de la vocation (1968)
5 Lui, ce qu’aucune morale ne pourra jamais faire, même si on la baptise « chrétienne » en toute naïveté, même si on la déclare
6 si on la baptise « chrétienne » en toute naïveté, même si on la déclare « révélée », voire « éternelle » contre toute évidence
7 ger. Ce droit de demander que ma vie ait un sens, même si je ne trouve ou ne reçois jamais de réponse certaine, cette demande,