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e nous faire comprendre que la vraie cause de nos
malheurs
est presque toujours en nous-mêmes. Il faut reconnaître, hélas, que c
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rovidence qui se charge de tout mettre au pas. Le
malheur
, c’est que l’Argent et l’État sont des principes qui ne valent rien d
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réformes matérielles sont inutiles et tournent au
malheur
. Car le mal qui est dans l’action n’a pas d’autres racines que le mal
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s efforts, même les plus sincères, aboutissent au
malheur
de l’homme. Dans ce monde qui a perdu la mesure, le seul devoir des i