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on. Il flatte au cœur de notre angoisse morale et
matérielle
le désir lâche d’un « ordre » imposé par la force, d’une « mise au pa
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tout d’abord dans l’hypothèse que seule la force
matérielle
peut résister à une menace totalitaire. La conséquence qui en découle
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e on le dit trop souvent en vertu de nos intérêts
matériels
, certes légitimes à nos yeux, mais dont nos grands voisins n’ont pas
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e communion et presque de communisme spirituel et
matériel
; bref, une certaine déviation « spiritualiste » de la foi, mais comp
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’est, en fin de compte, malgré tous ses prétextes
matériels
, qu’un épisode tragique d’une bataille bien plus vaste, la millénaire
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changer. S’il ne change pas, toutes les réformes
matérielles
sont inutiles et tournent au malheur. Car le mal qui est dans l’actio
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e elle-même vient nous dire que même dans l’ordre
matériel
, il n’est plus permis de concevoir une observation impartiale, à comb
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posaient cette question : à quoi tend le progrès
matériel
? Question stupide et irritante, n’est-ce pas, aux yeux de qui refuse
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mander à quoi servira cet argent ou si le confort
matériel
favorise un bien spirituel. À la première de ces questions, il n’oser
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] c’est la préoccupation, la passion du bien-être
matériel
. Sa pente, n’en doutons pas, est du côté de la tyrannie. » Et qu’il s
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as su imaginer un autre bien que la défense toute
matérielle
d’un ordre de choses vicié dans son principe ; ou la conquête, mais q
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l’Esprit ! Quand toutes les positions morales et
matérielles
sont ébranlées, comme elles le sont depuis quelques semaines, alors s
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cœurs avec une telle puissance que les sacrifices
matériels
devenaient simplement des services d’amitié, de ces services qui vont