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r aux plus naïfs. Mais il n’est pas seulement une
menace
. Il est aussi, et c’est beaucoup plus grave, une tentation. Il flatte
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que seule la force matérielle peut résister à une
menace
totalitaire. La conséquence qui en découle immédiatement, c’est qu’il
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puissions commettre en tant que Suisses, car elle
menace
l’existence même de notre État. Réagir à la menace totalitaire sur le
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enace l’existence même de notre État. Réagir à la
menace
totalitaire sur le plan de la défense armée, et tout subordonner à ce
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succombé, ce n’est point tant qu’il ait cédé à la
menace
militaire, d’ailleurs réelle ; c’est surtout, c’est essentiellement p
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le impossible, et les députés se séparent sur une
menace
de guerre civile entre cités et petits cantons. Mais voici l’heure de
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les maladies imaginables. Et cet ennemi qui nous
menace
, il ne serait nullement suffisant de l’anéantir pour nous en délivrer
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de toute l’histoire. C’est donc pour nous la pire
menace
. Mais en même temps, la plus belle promesse ! Maintenant, la preuve e
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optimisme, dans une Europe tout obscurcie par la
menace
des avions. L’heure est plutôt venue de répéter la question du prophè
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s, il ose écrire : « Si quelque chose aujourd’hui
menace
la liberté, ce n’est pas comme jadis la superstition, […] c’est la pr
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’Europe s’il sort de son impasse, soit encore une
menace
de guerre contre le continent tout entier, nous poseront ces question
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nts des leçons d’initiation sexuelle ; au lieu de
menaces
d’aller en enfer et d’exorcismes, on prescrit une psychanalyse, certa