1 Argent. Et quand il n’y a plus d’argent, c’est la misère . Et quand la misère est trop grande, alors c’est l’État-providence qu

2 n’y a plus d’argent, c’est la misère. Et quand la misère est trop grande, alors c’est l’État-providence qui se charge de tout

3 effective de la pensée et de la foi à toutes les misères de ce monde. La liberté : tout le monde l’invoque, n’est-ce pas ? Mai

4 chefs étaient horriblement pressés, à cause de la misère que subissaient leurs peuples. Et voici la faute de calcul qu’ils me

5 aussi tragique dans des pays moins menacés par la misère , comme par exemple nos petits États neutres, ne nous faisons pas d’il

6 ties de l’humanité contemporaine exténuées par la misère . Les solutions totalitaires, malgré leurs manifestations brutales et

7 tions de paresse intellectuelle, des solutions de misère , fardées de rhétorique héroïque. Le seul moyen de prévenir ces simpli