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éjà installée chez nous, sous prétexte de défense
nationale
. Or je crois que l’erreur qui aboutit à ce dilemme est la plus grave
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ose unique, irremplaçable : un État qui n’est pas
national
, mais qui est au contraire fédéral. Un État dont les bases historique
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guerre, par exemple, ou simplement que la défense
nationale
. Or je vois là le signe très certain d’une crise, — et d’une crise qu
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progrès aux nécessités impérieuses de la défense
nationale
. Pour avoir refusé les sacrifices qu’eût entraînés un règlement plus
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de sauver notre peau, dès qu’il s’agit de défense
nationale
, nous acceptons des mesures qui, hier encore, passaient pour folles,
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cultures, des religions, des préjugés sociaux et
nationaux
, de l’obscurantisme et du rationalisme, du piétisme et de l’existenti
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s canons et priant pour le succès de telle équipe
nationale
de tueurs sur telle autre. Je ne rappelle pas ces choses par masochis