1
aisons de sa puissance. C’est sur ce terrain-là —
non
sur des champs de bataille hypothétiques — que nous devons organiser
2
e directe, c’est d’inventer des formes de défense
non
militaires, donc non totalitaires. Je ne dis pas que je les ai trouvé
3
venter des formes de défense non militaires, donc
non
totalitaires. Je ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le sal
4
ésigner pour la prêtrise ou pour les ordres. Mais
non
, parvenu à l’âge d’homme, il s’engage dans les bandes armées qui guer
5
un solide paysan, les deux pieds sur la terre, et
non
pas un sectaire ou un illuminé auquel des ouvrages pieux auraient tou
6
, ne passera jamais dans les actes. Je n’aime pas
non
plus l’intolérance qui veut tout uniformiser, et qui est donc une mor
7
éralisme, en effet, suppose des petits groupes et
non
des masses, et c’est seulement au sein d’un groupe qu’une vocation pe
8
tous les avantages de la tolérance libérale, mais
non
pas ses inconvénients : car chacun dans le groupe où il est né, ou da
9
si bien que nous, peut-être mieux !) Ce n’est pas
non
plus, comme le disait fort bien Karl Barth, pour protéger nos « lacs
10
utiliser notre expérience, et de tirer des leçons
non
pas seulement de ses succès mais aussi de ses échecs, que nous connai
11
rre. Nous demanderons simplement un monde humain.
Non
pas un monde d’utopie où toutes les luttes s’apaiseraient par miracle
12
ouverte, tant qu’il y aura du péché sur la terre.
Non
, l’heure n’est pas au facile optimisme, dans une Europe tout obscurci
13
ause : celui qui ne croit pas en Dieu ne sait pas
non
plus croire au diable, et ne sait pas le reconnaître. À l’origine de
14
, il pressent bien qu’on ne pourrait que répondre
non
. D’où sa myopie et son imprévision systématique des maux prochains. J
15
s refusé d’écouter. Et maintenant il faut payer.
Non
point parce que l’injustice triomphe, non point parce que Dieu n’exis
16
payer. Non point parce que l’injustice triomphe,
non
point parce que Dieu n’existe pas, mais au contraire parce que Dieu e
17
supprimer toutes les questions sociales. Et cela
non
pas seulement en Suisse, mais dans tous les pays de l’Europe ; non se
18
uront alors ce qui mérite d’être sauvé ou recréé.
Non
pas le droit et la justice dont se réclamaient nos égoïsmes et celui
19
même si les grandes démocraties ont la victoire.
Non
pas le bonheur fait de laisser-aller et d’insouciance du prochain, ca
20
Je vous parlerai ce matin de l’Église visible et
non
pas de l’Église en général. Je vous parlerai des Églises telles que n
21
n ? Je n’oserais pas répondre ce matin. Ni oui ni
non
. Mais je voudrais que cette question reste posée. C’est lorsque tout
22
se doit être, ou redevenir une Église de Dieu, et
non
pas la société des braves gens. Par exemple, on ne doit plus discuter
23
e devenir une vraie Église, une Église de Dieu et
non
pas une Église patriotique ou une puissance d’ordre politique. 2° Le
24
st de la laisser être une vraie Église de Dieu et
non
pas une Église de l’État suisse. Il est bien vrai que notre État fédé
25
ttends qu’on me parle avec une calme autorité, et
non
pas que l’on prenne au sérieux mes doutes éventuels. Notre génération
26
elle demande à la prédication de parler à sa foi,
non
à son doute, avec la tranquille et familière assurance de la foi. Car
27
nous aussi un jour ou l’autre. Je ne parlerai pas
non
plus du rôle des laïques dans la paroisse, qui pourrait être développ
28
ises, qui sont les membres du Corps de Christ, et
non
pas des associations comme les autres. Avoir ensuite le souci de « dé
29
ntérêts de l’Europe entière ». Apporte-t-elle, ou
non
, une contribution effective à la défense commune de l’Europe ? II
30
otre neutralité ? je ne puis donc répondre oui ou
non
. Le problème ne peut pas être posé, encore moins résolu, dans l’abstr
31
sances « dans l’intérêt de l’Europe entière », et
non
pas comme un privilège qu’il n’y aurait plus à mériter. Elle est rela
32
le Conseil de l’Europe comprend quinze États, et
non
dix comme le répète mon censeur, ce qui fausse ses calculs à la base.
33
dogmatique paraissait difficile à justifier, mais
non
pas les principes du devoir moral, considérés comme révélés, invariab
34
mme la contraception) dans une société donnée, et
non
plus l’Église par ses décrets généraux et par l’intervention personne
35
on à la transcendance. Elle demeure sans réponse,
non
point par accident, mais par nécessité de méthode. Car la grande Mach
36
excellence, nulle et vide quant à l’information,
non
susceptible d’un traitement logique, et ne pouvant aboutir qu’à une s
37
s ou uniformisantes, réductrices de l’imprévu, du
non
conforme, de l’original et du « libre » (alors que d’autre part ces n
38
utes les morales humaines sont conventionnels, et
non
pas « naturels », sont des normes et non des lois au sens physico-chi
39
nels, et non pas « naturels », sont des normes et
non
des lois au sens physico-chimique du terme ; et deuxièmement, il n’y
40
olique d’une pulsion de l’inconscient ? — Eh bien
non
, je n’en suis jamais sûr ! La foi sans le doute n’est pas la foi, ont