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elle-même. Alors commence la vie de solitude et d’
oraison
que toute l’évolution intérieure de Nicolas semblait appeler comme un
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cé de les observer par le jeûne, les veilles, les
oraisons
et autres exercices, en macérant mon corps plus que tous ceux qui auj
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e Dieu. Toute ma vie n’était que jeûnes, veilles,
oraisons
, sueurs… Et plus tard Luther ajoute : Mais mon cœur tremblait et s