1 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
1 elle-même. Alors commence la vie de solitude et d’ oraison que toute l’évolution intérieure de Nicolas semblait appeler comme un
2 cé de les observer par le jeûne, les veilles, les oraisons et autres exercices, en macérant mon corps plus que tous ceux qui auj
3 e Dieu. Toute ma vie n’était que jeûnes, veilles, oraisons , sueurs…  Et plus tard Luther ajoute : Mais mon cœur tremblait et s
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
4 uia (chant spontané). (À la fin du culte, après l’ Oraison dominicale, chant spontané d’une strophe du Te Deum : « Gloire soit a